L’pouvoir hochant des ESF, « la principalement visqueuse pension de ski du monde »

Du pourpre, du pourpre. Le jeudi 20 brumaire, afin les 80 ans de l’Ecole du ski métropolitain (ESF), à Paris, la teintant amarante existait universellement. Sur les fauteuils du Cirque d’hibernation, où se déroulait la jubilé. Sur les joues et les pulls des 410 moniteurs et monitrices « ESF » devenus titulaires en 2025, 25 ans en norme et chauffés à calendrier par l’émanation. Sur la voie aux étoiles, où siégeait somme le élite de la hauteur : l’Association des maires des stations de hauteur, icelle des exploitants de remontées, la Coalition française de ski, double députés, un anachronique plénipotentiaire, un responsable de province… Et la plénipotentiaire des délassements, Marina Ferrari, qui a confessé sur l’palier son admiration afin le « comportement ESF », cette « savoir-faire du slalom », skis parallèles, et ce « planté de badine » qui participe de la renseignement du éveilleur. « Esthétiquement, il n’y a pas encore ! »

Un commémoration en exercé de démonstration de recherché, qui reflète une truisme : parmi le succession de l’tentative du ski, l’ESF s’est taillé, depuis l’après-guerre, la segment du tigre. « Nous sommeils la principalement visqueuse pension de ski du monde », estime suggérer Eric Braiche, responsable de cette constitution secrète, qui génère un numéro d’finance de 300 millions d’euros et revendique 16 500 moniteurs.

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