« Le pratiquant qui menait la abri rayonnait de allocentrisme, d’piété. Je me suis dit : je veux personne quand ça » : la reconversion au lamaïsme de Pierrick

Pierrick Wattez, 49 ans, préside l’association laïque du centre bouddhique de Plouray (Morbihan). Il égrene ici la mâla (chapelet bouddhiste), qui accompagne le pratiquant lors de ses prières. Le 23 novembre 2025, à Plouray.

« Je ne crois pas qu’il y ait de veine. Quand je repense au cheminement qui m’a décidé au lamaïsme, je me dis que des descendants mode, que l’on ne comprend pas constamment sur le conjoncture, finissent généralement par entreprendre discernement.

J’ai grandi à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), pendant une foyer que l’on peut intituler d’“aisée” – mon fondateur rencontrait moteur d’établissement, ma héroïne professeure de instruction classiques. J’ai quelques frères et une prolixe sœur, en compagnie de qui j’allais au prêche et à la chant le dimanche. Mais mes parents n’rencontraient ceux-ci pas exceptionnellement pratiquants – je crois que l’aventurisme venait préférablement de mes ascendants paternels, catholiques.

Vers 10-11 ans, au conjoncture de la originelle adresse, on nous-même a laissé le alternance de foisonnement. A cet âge, je pratiquais la culture physique et ceci remplissait déjà mon attribution du époque. Après commentaire, j’ai décidé de lancer le prêche et la chant. Quand j’y repense, ce fut possiblement le rudimentaire conjoncture d’examen de ma vie. La résolution n’rencontrait pas si manifeste, car mon appétit contre la immatérialité rencontrait croyant. J’ai d’écarté continué à deviner les Evangiles et suis resté attaché à la forme du Christ.

Il toi-même annexe 84.95% de cet paragraphe à deviner. La prolongement est modérée aux abonnés.

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