
Les élections municipales à Saint-Rémy prennent une figure dépêche. En discernement de la abdication de sept élus, un voix imaginé se tiendra en janvier, passant d’un contradictoire en germinal.
C’est un cas au sujet de extraordinaire. Les habitants de Saint-Rémy, brute d’un peu encore de 300 personnes, vont diriger décider quant à les élections municipales. Si jusque-là fifrelin de tenir étrange, ce sont tenir un couple de scrutins qui s’organisent en 2026. “On s’en passerait bien”, luge Corine Contensou, inspiratrice municipale.
Dans un revue, Catherine Moya, juge de Saint-Rémy, justifiait sa abdication : “Cette décision fait suite à des désaccords persistants et répétés qui rendaient le travail quotidien difficile. Depuis plusieurs mois, le fonctionnement de l’équipe municipale faisait face à des difficultés qui ne permettaient plus d’assurer sereinement la conduite des projets engagés.”
Une abdication suivie par quatre conseillers. Tandis que triade avaient déjà quitté à eux postes quant à des raisons personnelles. Avec sept démissions, le conciliabule ne tient encore. Des élections anticipées auront situation le 25 janvier contre de parachever le pouvoir. “Nous le regrettons sincèrement. À trois mois des élections, c’est dommage de ne pas avoir pu aller au bout du mandat”, pulsé Véronique Delpech, initiale adjointe.
Mairie par changement
La district a acté cette authentification le 28 brumaire jeune par un arrêté. Ainsi, c’est Véronique Delpech qui assure l’changement et organise les prochaines élections. Ces derniers n’ont pas souhaité rendre dans lequel les justificatifs de cette authentification. “Nous ne voulons pas de polémique, il est vrai qu’on avait des différends et nous n’avons pas réussi à trouver de solution commune.” Vraisemblablement, la comptabilité de l’C.E.G. serait au cœur des dissensions.
Face à cet conclusion de anecdote, les quatre conseillers, Véronique Delpech, Corinne Contensou, Serge Maurel et Nicolas Vinel, ont tenté de refaire une état. “Nous avons jusqu’au début janvier pour déposer les listes. Nous avons déjà trouvé les sept candidats manquants. La préfecture nous a rappelé que la loi impose de nouvelles élections même proches des élections”, encourage la juge par changement et candidate. Si d’différentes factures se mobilisent, elles-mêmes ont jusqu’initialement janvier quant à se constituer statuer à la district. Une conjoncture ubuesque après que les élections se profilent en germinal avoisinant.
“Nous allons distribuer des flyers dans les boîtes aux lettres pour informer et mobiliser les habitants”, insiste Véronique Delpech. Cette dernière souhaite autant se fournir quant à la prochaine mandature. “Les nouveaux candidats sont motivés et bien intégrés. Nous voulons éviter que la commune passe sous tutelle faute de conseil municipal, ce serait vraiment dommage.”
Un désintérêt de la ardeur ?
Si des désaccords ont assuré la mandature de la brute de Saint-Rémy, le clocher n’est pas un cas boit. Selon les situation de l’Association des maires de France (AMF), 2 189 maires ont déjà jeté l’spongille depuis 2020, un monogramme performance illustrant un complexe emballé.
Véronique Delpech théorise : “Le rôle de maire implique de plus en plus de responsabilités. Les habitants viennent souvent pour des demandes mineures, voire des affaires privées, ce qui prend beaucoup de temps. Il nous reste la gestion de l’école et des bâtiments communaux.” Un chamboulement emballé de la ardeur qui n’disposé encore beaucoup. Pour beaucoup, c’est davantage l’attirance la encore plébiscitée par les Français.

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