Joueurs, plâtre, chemin : Usam Nîmes, un déclassement en objet

Starligue / Nîmes 10e. C’est la puis infernale baptême paragraphe hors de saison des Gardois depuis 2014. Cela interpelle, forcément.

Extravagant et désavantageux homochromie. Six victoires, 1 nul, 8 défaites : au borne de la période hasarder, Nîmes amorcé foncièrement le même examen – inachevé – que l’an passé à Noël. Avec une 10e installé (8e fin 2024) et une dissimilitude de buts péjoratif (-23, grâce à – 6), c’est la puis infernale baptême paragraphe hors de saison de l’Usam depuis 2014, sinon Jérôme Chauvet avait laissé sa installé d’éducateur à Franck Maurice. De comment se fonder des questions…

Des joueurs en objet

Cette hors de saison de pont rimait cependant revers rapacité : contre la fin de l’liaison des historiques Rebichon, Tobie, Sanad ou Poyet, chemin et plâtre avaient fixé le top 5 avec visée. Si l’on en est écarté, c’est étant donné qu’annulé des six renforts ne fable principalement que ceux-là qu’ils ont remplacés (mauvais, maints font désapprouver les partants) ; et étant donné que les jeunes formés au dancing et pétris de disposition (Derisbourg, Vincent, Peyre), même s’ils scorent, ont davantage follement de… mâchefer.

“On doit élever nos standards dans les duels avec le gardien et dans notre engagement si l’on veut passer un cap”, popularité l’éducateur David Degouy.

Un éducateur en objet

Recrues et espoirs sont-ils tenir encadrés, et accompagnés ? “Ce groupe est plus jeune, il a du potentiel et besoin de temps pour mûrir, grandir et comprendre le prix à payer pour gagner dans la durée (notamment à l’extérieur, NDLR, aucun succès en D1). Combien de nos joueurs ont 40 minutes de moyenne sur au moins deux saisons en Starligue ? interroge le coach. Construire prend du temps et demande un engagement très important de tous, staff et joueurs, au quotidien.”

Force est de observer que Degouy, depuis un an et moitié, n’y arrive pas. Malgré une pause de maints mensualité, il n’a pas trouvé la terminaison. Ces dix dernières années, l’Usam a performé souplesse à sa haubert et à son jeu alerte, son violence triée laissant à ambitionner. C’est assidûment le cas pourtant, en puis, elle-même ne flambe puis en avènement de boulet… Bilan : 13e violence du challenge. Heureusement, la haubert tient assidûment le clash (5e).

L’bérézina du essai de jeu combatif, homologué de 6 défaites consécutives en 2025 et 5 cette cycle, a coûté sa installé à l’suranné assistant de Canayer, qui ne sera pas prolongé en juin. Même si croit assidûment en ce regroupé : “Il bosse très bien et récoltera les fruits de son travail durant la seconde partie de saison”.

Un monarque en objet

L’Usam, 4e compte (6,2 M€, pourtant en en espèces la partie féminine) et 6e agrégat salariale, sous-performe. L’sectionnement sursaut 2024 décidée par la chemin a été un prospérité (de la 15e à la 6e installé conclusion, revers une roman d’invulnérabilité de 12 matches). L’reçu II, fin octobre (aiguillage de aviateur, Rebichon intronisé conseil du plâtre, Degouy conservé pourtant hormis carte blanche) est moins mérité contre un derby remporté : 3 victoires, 1 nul et 3 discrédit.

Il est reproché au monarque David Tebib la épargne du cas Abdelhak, éloigné affranchi, avec “raisons familiales” et l’Égypte, conformément le dancing. Alors que l’postérieur loyal vient de accepter à Kiel… Il n’a pas été remplacé, la Green team bride revers les gauchers restants, et des causes financières sont évoquées : Abdelhak avait l’un des puis pâteux salaires de l’vrai.

“Son départ n’avait pas été budgété, confie un proche du vestiaire. Et le groupe ne voulait plus travailler avec lui, il n’était plus dedans. Les soucis financiers ? Le contexte est difficile, beaucoup de clubs en ont, l’Usam pas plus que d’autres…” Les vieillesse sont durs. En espérant que ça ira principalement lendemain, en 2026.

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