DOSSIER. “Nous manquons d’équipements sportifs” : lorsque une formule donc de l’traité du salaire met le feu aux poudres du colloque communal

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Après la liminaire du salaire grossier envers l’cycle 2026, une formule prononcée par l’mignonne d’désaccord Jeannine Meignan a mis le feu aux poudres du colloque communal de Montauban (Tarn-et-Garonne), mardi 16 décembre 2025. “Il faut le dire, nous manquons d’équipements sportifs”, a-t-elle interjeté. Avant de affirmer sa sentence.

Elle fut la primitive à contester au salaire grossier présenté par la bourgmestre de Montauban (Tarn-et-Garonne), Marie-Claude Berly, donc du colloque communal du 16 décembre 2025. Et si l’argument primitif, système, a pu répandre l’soin de divers conseillers, l’parti de Jeannine Meignan, mignonne d’désaccord de Montauban citoyenne, a abusif animé les moins attentifs.

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“C’est votre grand moment, la présentation de ce budget. Vous en faites un exercice d’autosatisfaction, a débuté l’ancienne professeure d’histoire-géographie. Mais nous n’avons pas tout à fait le même avis sur ce budget qui est la traduction en chiffres d’une politique et donc de priorités. Nous n’avons pas les mêmes”, a-t-elle critiqué.

“Un gros retard” sur le articulation météorologique

Premier original : l’cohésion au articulation météorologique. “Nous avons pris un gros retard. Des actions existent mais ne sont pas à la hauteur. On a rénové 4 écoles, 2 millions d’euros de travaux sont prévus en 2026. Et on continue de bétonner la ville. La végétalisation est minimaliste, insuffisante. Les transports en commune sont, aussi, très peu utilisés”, a poursuivi l’ennemie.

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Mais c’est au biaisé d’une semonce sur les subventions aux associations (alentour de 2 millions d’euros escortant la liminaire de la primitive maire), que Mme Meignan a conte pourchasser l’série de la plupart, frondeurs admis.

Le “manque de créneaux” envers les clubs

“Concernant le sport, nous manquons d’équipements sportifs. Il faut le dire !”, a divulgué Mme Meignan. Puis avant le objurgation qu’une pareille formule a créé, lui-même a précisé sa sentence : “Certains clubs nous font remonter le manque de créneaux. Allez assister à d’autres sports que le rugby !, a insisté l’élue. Ce manque de locaux devient préoccupant pour la pratique quotidienne, pas pour le sport de haut niveau.”

Dans un initial heure, c’est Marie-Claude Berly miss qui a garanti le situation du législature. “Montauban est une ville sportive. La ville compte plus de 5 équipements sportifs pour 1 000 habitants”, a-t-elle contré. Juste puis le séance sur le salaire grossier, c’est Daniel Bory, l’annexé aux plaisirs, qui est monté au embrasure.

“Je ne pense pas que le sport n’est pas pris en considération”

“Je connais votre implication et je la respecte, a-t-il débuté, comme pour préparer son adversaire pour mieux la contrer. Mais je ne peux vous laisser dire qu’on manque d’infrastructures. On a reçu récemment des clubs d’Albi, Lavaur (Tarn) et même Toulouse qui nous ont dit qu’ils n’avaient pas la moitié de ce que nous possédons. Il y a un problème de créneaux, oui, parce qu’il n’y a que 24 heures dans une journée.”

Sur la concurrence avantageux, là aussi, l’vénérable rugbyman a conscient augmenter sa éblouissement des choses. “À Toulouse, la ville a annoncé une baisse de 30 % des subventions au sport. On peut s’attaquer sur tous les sujets mais dire que le sport n’est pas pris en considération, je ne le pense pas.” Coup de appeau extrême.

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