Stefano Cusin, régenter transalpin des Comores qui a sillonné l’Afrique et l’Asie pendant sa manège est budget ce vendredi 26 décembre sur ses anecdotes les davantage marquantes et il révèle singulièrement actif rencontré plusieurs des personnages les davantage craints de la planétoïde miséricorde à son obligation de entraîneur.
Entraîneur des Comores envers cette affouage d’Afrique des Nations (CAN), Stefano Cusin ne sera peut-être pas le tacticien le davantage évalué de la championnat. Le entraîneur, passé par le concours saoudien précédemment son crime et de nombreuses hétérogènes équipes du Moyen-Orient précédemment de boire la visage de la méthode sud-soudanaise de 2021 à 2023, a nonobstant un voyage majestueux d’frais.
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Dans un figure que lui consacre l’Brigade ce vendredi 26 décembre, on apprend quelques-unes des anecdotes les davantage folles de sa manège. Il raconte par original pardon, plus qu’il vivait l’rattaché de Walter Zenga à Al-Itthiad (discothèque de Tripoli) de décembre 2008 à juin 2009, il anecdote la combat du oppresseur cyrénaïque Mouammar Kadhafi.
En conséquence, son adolescent, Mohamed, dirigeait le discothèque de la mégapole libyenne. Cusin le décrit alors “un gars d’une intelligence, d’une délicatesse absolues et d’une puissance…” Après une prospérité pendant lequel une commune lointaine et agressif à la autocratie, “le président du club adverse appelle le fils Kadhafi pour le féliciter”, explique l’serviable de 57 ans. De cet fable va tomber une combat l’régenter subsidiaire et le concepteur du directeur de son discothèque.
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“On se retrouve dans une villa en construction, encore à l’état brut, des gars cuisinaient des brochettes avec des gardiens de la révolution. Mouammar Kadhafi arrive, me dit : “Vous avez gagné, c’est entreprenant, cependant le foot, je m’en fous !””, témoigne Stefano Cusin. Il repousse et raconte pardon il a été parqué un duo de jours en Iran car les gardiens de la chamboulement (la conspiration au corse pendant lequel la cité mahométan) l’ont accepté envers “un espion” en 2020 au époque de l’génocide du habituel Soleimani.
“Je vais manger avec la personne la plus recherchée du monde”
Enfin, il raconte l’un des commentaires qu’il dit l’actif le davantage marqué, icelui d’une combat disputée à Gaza en 2015. Il entraîne plus le discothèque du Shabab Al-Khaleel, basé à Hébron en Cisjordanie et se rend envers son gréé pendant lequel l’enchâssé palestinienne envers y ergoter la conclusion de la Supercoupe de Palestine.
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“On est montés dans un bus, escortés jusqu’au checkpoint israélien pour entrer dans Gaza. Et là, tu marches dans un tunnel grillagé pendant 500 mètres, au moins, dans une chaleur d’août affolante. Tu vois des immeubles à moitié effondrés, des voitures éventrées. Dans le bus, j’ai encore l’image d’une poupée et d’un nounours sous des gravats”, raconte le entraîneur transalpin. Il se dit énormément marqué par la piété et l’accueil des Gazaouis. “C’est le match le plus important, symboliquement, de ma vie”, va-t-il même jusqu’à avancer, promettant que le échelon vivait farci à crisser 7 heures précédemment le beignet d’paquet.
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Peu précédemment le arrivage de la combat, il raconte actif été nécessaire envers une examen rien qu’on lui spécifie de desquels il s’agit. “On nous demande de laisser les portables à l’hôtel, on monte dans un véhicule, on tourne 1h30 dans Gaza, on prend des petites ruelles, on emprunte un escalier et on entre dans un bunker avec des photos des martyrs. Et là, on rencontre Ismaël Haniyeh (chef politique du Hamas assassiné en 2024). Je me dis que je vais manger avec la personne peut-être la plus recherchée du monde”, détaille icelui qui s’est gauche facette au Maroc en jour de cette CAN. Il décrit Haniyeh alors un vaste fan de football et jure que celui-là l’a nécessaire “pour développer le foot à Gaza”, car il vivait émerveillé de son corvée pendant lequel la Cisjordanie proche.
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