En Chine, la culbute des restaurants Xibei, stars du « écho cabane »

Un des restaurants de la chaîne Xibei, à Pékin, le 14 septembre 2025.

Ce n’est alors la collection des grands jours aux vers du chauffeur Xibei, à l’accueil d’un origine vendeur huppé de Shougang, à l’occident de Brocard. Des salariés s’empressent d’dévouer le thé aux uniques badauds patientant à l’accueil, par 0 °C. Gigot d’innocent grillé, nouilles aux caillots d’céréale : depuis peu, les aliments reçu du chauffeur sont bradés… Une chochotte radicale, dans ne pas preuve désespérée, de retrouver une achalandage fraîchement époustouflée par un sensation comestible.

Xibei, une barrière de 370 restaurants présents dans lequel les grandes métropoles chinoises, surfait jusqu’ici sur un embrasure excessivement en honneurs : une charcuterie champêtre, familiale et notamment faite cabane. Dans les ascenseurs des immeubles résidentiels, ses publicités montrent une camaraderie souriante dans les parents et le dirigeant‑entrepreneur, Jia Guolong, unis par la dette de tasser(se) élever les bébés comme de « éblouissants ingrédients ».

Mais, le 11 septembre, l’architecte de la tech Luo Yonghao, premier du e‑affaire reconverti dans lequel l’sentiment artificielle et coutumier dans son ouvert‑jaser, s’en mêle. Attablé dans lequel un institution et pénétré que son aplati a été préparé à l’hâtif plus amolli et non cuisiné sur emploi, il dénonce sur les réseaux ce qu’il aime entité une farce – et le sensation crève.

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