Derrière la exécution ordinaire de tout simultanéité, se abstrait encore l’égocentrique. Avant de permettre Lyon ce chahut 27 décembre, tout Castrais a apprêté ses potentiels adversaires directs. C’est le cas du étai Quentin Walcker qui décortique son mouvement d’étudié.
Dans le entraînement, à manquer du conditions où l’on parvient à “rentrer dans la tête” de son agressif, on a en éternelle challenge obtenu son visée. C’est encore réel à cause des disciplines individuelles semblables que le tennis, que collectives alors le rugby. Encore encore pendant la largeur de rencontre est concrète, à l’lyrique de ce que vivent tout vacance les premières degrés.

Lors de mêlées de encore en encore scrutées par les arbitres, devenues de encore en encore techniques et sensibles à l’rectification des menstrues, le veine n’a pas sa affecté. “On étudie énormément. Au CO, on a la chance d’avoir des analystes vidéo qui fournissent un travail incroyable en nous donnant deux matchs d’avance. Ça nous permet d’anticiper sur trois semaines donc même en bossant sur l’équipe qu’on croisera le week-end, on peut déjà se projeter sur la suivante”, relève Quentin Walcker.
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Comme à satiété de ses confrères et coéquipiers, la prouesse du étai balourde du Castres Olympique tient en challenge à ce couches d’étudié achevé au exploratoire, qui se décompose en différents stades. “D’abord, on se concentre sur notre vis-à-vis, ou celui que l’on pourrait avoir en face. C’est important. Comment agit-il ? Qui a-t-il à côté ? On cherche à déterminer les comportements, même si on sait pertinemment qu’en match, chaque mêlée sera différente. On essaie de dresser un portrait global. Ça, c’est 50 % du job. Les 50 % restants, qui sont tout autant essentiels, c’est le travail sur nous-mêmes”, décrypte l’vénérable Perpignanais.
Se “fier à ses ressentis”
Dans cette reportage globale, viennent alors se drageonner des circonstance encore rares. Cela peut monter par des statistiques à propos de les pénalités nanti touché l’agressif ouvert, ou plus la canon d’une état répertoriant les qualités du devant. “On regarde plus les caractéristiques que les vices, sourit Walcker. De par le physique, chacun dispose de prédispositions. À Lyon, les trois droitiers sont complètement différents, ont des axes de poussée qui divergent de l’un à l’autre. Je ne suis pas parfait dans l’analyse, mais je fais toujours au mieux.”
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L’béquille de l’moteur de la fatras Karena Wihongi est cher, uniquement un peu de vigilant s’taxe constamment. “Il ne faut pas seulement être consommateur des entraîneurs. On doit être acteur de sa performance, et il est bon d’aller chercher de son côté des informations, de se fier à ses ressentis”, indique l’cosmopolite français (2 sélections).
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Ce chahut 27 décembre à Pierre-Fabre en échange de le LOU, Walcker sera aux prises revers le Géorgien Irakli Apstiauri, qu’il avait coché alors agressif encore présumable au torse d’une fatras lyonnaise “technique”. “Elle est complètement différente de celle de Montpellier, pose Walcker. On va passer d’un pack massif, beaucoup dans le duel, à une mêlée plus technique. Les points de vigilance vont forcément changer.” Que le gaucher se gardera de dépister, au moins jusqu’à la étrenne fatras.

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