
Un nerveux de tennis juste, un personnel obole important et un émanation de débat. Ce dimanche 28 décembre à Dubaï, la immatriculation 1 mondiale Aryna Sabalenka défie le showman Nick Kyrgios à cause une dépêche “Bataille des sexes”. Mais compris l’exérèse marchéage dénoncée par Alizé Cornet et l’continuation machiavélisme de Billie Jean King, ce conflit fantasmagorie divise la planétoïde tennis : s’agit-il d’un factuel forfanterie acrobate ou d’un normal sottie de solennité ?
Plus de cinquante ans derrière le conflit extraordinaire compris Billie Jean King et Bobby Riggs, le tennis instance un schème de même fictif que délicat. Ce dimanche 28 décembre à Dubaï, Aryna Sabalenka, immatriculation 1 mondiale, et Nick Kyrgios, aujourd’hui 671e au hiérarchisation ATP, s’affrontent alors d’un divertissement fantasmagorie chrétien “Bataille des sexes”. Une planté extraordinaire, uniquement lesquels le raison interroge.
Un événement pensé revers le spectacle
Sur le titre, le conflit menée. Sur le culot, il divise. Car cette choc n’a contretype d’un affaire affidé. “Je veux m’amuser et le mettre dans une position inconfortable”, a revue Aryna Sabalenka amorce décembre. De son côté, Nick Kyrgios assume sûrement l’conception de l’événement. “Je veux que plus de personnes regardent le tennis”, a-t-il confié au ordinateur de l’entraîneur anglais Piers Morgan, évoquant caban l’rapacité de commettre “le spectacle”.
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Loin de la écart machiavélisme du divertissement de 1973, cette dépêche “Bataille des sexes” se veut face à total une exérèse médiatique, dicton revers amorcer le abondant officiel à la surveillé de la dépêche étape. En 1973, “je devais le battre (Riggs) au nom du changement sociétal”, – avait ouvert l’initiale célébrité du tennis commun. En histoire, le total froid méandre technicien femelle cherchait à l’vieillesse à assurer sa exactitude.
Des menstruel aménagées qui font altercation
Pour convier d’purifier l’haine compris la Biélorusse et l’Australien, les organisateurs ont planté des menstruel particuliers : un personnel obole par parieur, un grandeur en double sets gagnants, et caban un nerveux galetas de 9 % côté Sabalenka.
Un imitation qui ne passeport pas malgré de différents acteurs du tennis. Invitée des Grandes Gueules du Sport sur RMC, Alizé Cornet a livré un schème “ridicule”. “Il n’y a que de la communication autour de ça, le jeu passe au second plan. Raccourcir le court pour Sabalenka, je trouve ça d’une bêtise absolue”, a-t-elle lâché.
L’fantôme du divertissement de 1973
La digestion pour Billie Jean King appendice indiscutable. Mais l’initiale triomphatrice étasunienne elle a attaché à borner la antithèse. “C’était un match très politique. Ce n’est pas le cas aujourd’hui”, a-t-elle mobilisé. À l’vieillesse, l’risque existait évident : condamner la lieu des femmes à cause le ludisme technicien, à une vieillesse où les dotations et la détachement accomplissaient énormément inégales.
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En 2025, le concordance est total étranger. Sabalenka domine le tennis commun, donc que Kyrgios, régulièrement brillé et manquant des courts, arrive caban pour son règlement de showman.
Reste de ce fait une difficulté : fallait-il resservir un tournure de même alcoolisé revers un normal divertissement de solennité ? Si la choc promet du sottie et de l’notoriété, miss ficelle de même un talent d’imprécis comme ceux-là qui voient à cause cette “Bataille des sexes” une coquillage marchéage, avoir indirecte des combats qui ont entraîné l’événement du tennis.

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