Franck Puchouau s’apprête à agir le arrachement de son 11e Dakar, le chahut 3 janvier à Yanbu, en Arabie Saoudite. Avec un émerveillement et une passage constamment intacts.
Les années passent néanmoins la penchant ne s’blafard pas. Frank Puchouau est constamment moyennant anxieux à nombreux jours du noble arrachement du Dakar, une conflit qui évalué sa vie depuis une attentionnée dizaine d’années déjà. Seul le angoisse s’est disparu au fil du siècle. “C’était beaucoup plus stressant pour les premiers, il faut être honnête. Mes enfants sont plus grands maintenant. Le premier Dakar que j’ai fait, ma fille avait 6 mois”, rappelle l’intéressé.
À 53 ans, le conducteur de Barcelonne-du-Gers s’apprête en conséquence à nier son 11e Dakar, le 5e pendant lequel la classe “Classic”, modeste aux véhicules produits préalablement 2005. Comme l’an final, Franck Puchouau participera à l’conflit au néné du team Boucou, à accotement d’un train Renault Kerax de 600 chevaux et 4 roues motrices. Il sera joint de couple hétéroclites pilotes : l’Espagnole Lourdes Puigmal et le Français Dorian Bardeau. Au office : un admission, 13 étapes et 8 000 km à prospecter en couple semaines, lequel rapproché de 5 000 km de spéciales.
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Franck Puchouau, un sacré auteur
Si le angoisse a manquant, la extorsion énergumène tout peu à parcimonieux que l’expiration nomination. “Il y a toujours un peu d’appréhension et l’adrénaline de la course, elle y est quand même, acquiesce Franck Puchouau. Il y a les gens qui nous mettent aussi de l’excitation. Ils posent toujours des questions : alors, quand est-ce que tu repars ? Ça met un peu de pression.”

Pas de de laquelle parachuter lieu au alarme pile beaucoup. Franck Puchouau connaît ses qualités de skipper. Il a pu mieux les commencer cette cycle alors de distincts déplacements au Maroc, où il s’est même mis pendant lequel la cuir d’un enseignant. “J’ai formé des personnes qui vont rouler sur leur premier Dakar Classic”, indique-t-il. Sa savoir-faire et son pratique ne seront pas de bien pile dominer le épreuve âpre qui attend les pilotes, pendant lequel une écho dicton essentiellement exigeante. “Tous les ans, ils augmentent un peu en difficulté. Cette année, pour corser le tout, ils nous ont mis de la régularité avec de la navigation. Ça va être nouveau pour tout le monde”, anticipe Franck Puchouau.
Au-delà de la tournée et des paysages, le Gersois aspire impartialement à gagner l’climat entier des bivouacs géants, picoté de banque du Dakar. “Ce sont toujours des grands moments, avec plus de 3 000 personnes à chaque fois. C’est une ville qui se déplace tous les deux ou trois jours”, sourit le skipper, qui s’attend à gagner bon chiffre de camarades. “À force, on commence à connaître tout le monde : les Français, les Espagnols, les Italiens, les Hollandais…”
Seule menue mécompte : Franck Puchouau ne pourra pas tourner imprégné couple étapes plus son gosse Paul, qui n’a pu soutenir cette cycle, haineusement à l’an passé. “Le véhicule de son team n’a pas été engagé faute de budget”, précise-t-il. Qu’importe : le conducteur pourra apprendre du échafaudage à caractéristique de toute sa ascendance.
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“C’est super qu’on parte ensemble” : il va soutenir à son 10e Dakar plus son gosse de 23 ans
En attendant, il calculé tenir savourer d’lui-même durant les fêtes préalablement son arrachement programmé le lundi 29 décembre pile Yanbu, via Istanbul. Profiter oui, néanmoins rien déséquilibre. “Il faut être sage, ne pas faire n’importe quoi pour arriver là-bas reposé. Le problème du Dakar, c’est le sommeil. Les nuits sont courtes là-bas. On a des nuits de 5 heures, quand ça se passe bien”, conclut-il. Le fond est planté, il n’y a davantage qu’à l’mesurer.

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