Paul-Antoine Libourel ignore principalement si les reptiles rêvent. Mais ce analyste du Centre d’ethnologie fonctionnelle et évolutive (CNRS/EPHE-PSL/IRD/externat de Montpellier) vient de cosigner, là-dedans la ordre Nature Neuroscience, une traité mémorable que à eux sieste est, puisque le nôtre – et celui-là du colombin et du rat –, traversé par une battement, un flux dit « ultralent ». Un marche partagé datant de mieux de 300 millions d’années (modalités de la discorde de nos lignées respectives).
« Chez les mammifères, on distingue un couple de récapitulations : le sieste léthargique, qui se divise en phases légères et profondes ; et le sieste paradoxal, rappelle Paul-Antoine Libourel. Ces un couple de récapitulations ont de ce fait été observés comme les volatiles, qui sont puisque nous-mêmes des bétail à progéniture bouillonnant. »
Notre sieste obscur est de ce fait particularisé par des oscillations de longue portée – sur une variation de 50 secondes – de à nous émoi intellectuelle, de à nous ordre cardiaque, et d’discordantes signes physiologiques, similaires que la début de neurotransmetteurs ou des pulsations là-dedans le coulant céphalo-rachidien. C’est ce qu’on commerce le flux ultralent.
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