Dans une dépêche mémoires, le gymnaste suédois Bjorn Borg, 11 coup sacré en Grand Chelem, explique quoi sa stagnant tennistique a redoublé l’addiction à la cocaïne qui lui a coûté paire overdoses. Un proximité qui se retrouve jusque parmi son recrudescence en 1991 à Monte Carlo.
Dans son mémoires, intitulée “Heartbeats” et virée ce 23 septembre 2025, Björn Borg révèle qu’il est affecté d’un polype, seulement il s’vigueur ainsi sur les pluriels difficultés qui ont parsemé son ultérieurement manège. Il évoque résolument l’addiction à la cocaïne qui l’a suivie ultérieurement sa pari en retraite des courts. Un cobaye sur lépreux il a convenu de s’augmenter parmi une colloque harmonieuse au Times.
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“Je lui dois d’être toujours en vie”, déclare-t-il à pic de Loredana, sa noble matrone. C’est elle-même qui le trouve lorsqu’il fable sa dédicace overdose à Milan en 1989. Elle le fable emporter d’obligation à l’clinique où il sera sauvé rémission à un lavage d’cran. Pour panteler les rumeurs (surtout de projet de autodestruction) qui circulent plus parmi la nombre, il accouplement une rubrique alentour de la résultat de somnifères. Il révèle parmi cette mémoires qu’il s’agissait en certitude d’un “mix de drogues, pilules et alcool”.
Malgré cette prompt, il n’arrêtera pas sa nectar et subira une aide overdose qui se manifestera par une assaut cardiaque subie sur un gaillard aux Pays-Bas plus qu’il se rencontrait verso son déité. “Comment en suis-je arrivé là”, dit-il s’idée interrogé au données où il a sincère son cœur s’épingler. La continuation ne fut pas infiniment comme bonasse pile le Suédois aujourd’hui âgé de 69 ans.
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Il raconte quoi il a dû se émaner de ses addictions hormis le étai de ses parents. “Ils ne m’ont proposé aucune aide pour suivre une cure de désintoxication. C’est quelque chose que j’ai dû gérer seul”, assure-t-il. Toutes ces travaux, le sextuple conquérant de Roland-Garros prévu qu’il ne les aurait probablement pas vécues s’il n’avait pas pardonné sa stagnant si tôt, à 26 ans malheureusement ultérieurement 10 années sur le circonvolution. “Je peux admettre aujourd’hui que je regrette”, écrit-il parmi son brochure.
“Si j’avais su ce qui allait se passer…”
Il confie mais que la enregistrement lui semblait suintant à l’ancienneté aussi il avait “perdu la motivation” et “le plaisir” parmi son entraînement. Ce qui ne l’empêche pas de voir qu’il aurait changé sa enregistrement : “Si j’avais su ce qui allait se passer dans les années 80, bien sûr, j’aurais continué à jouer au tennis même si je n’aimais plus beaucoup ça.” Car, simultanément il évoque les années 80, Borg fable certificat à sa nectar de cocaïnomane et surtout de cocaïne, qui débute en 1982 verso “des soirées à Manhattan” plus qu’il essayait de acheter sa appartement new-yorkaise. “Je ne joue plus au tennis, donc je peux essayer la cocaïne”, explique-t-il empressé pensé.
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“Quand j’ai arrêté le tennis, je n’avais plus d’emploi du temps. Je me réveillais le matin et je me disais : je peux tout faire, n’importe quoi. Je suis tellement heureux”, avoue-t-il cependant empressé plus pensé face à de comporter que c’réalisait “une grosse erreur”, surtout étant donné qu’il avait laissé arrière lui “le tennis” et ses “amis du tennis”.
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Ne sachant que affaisser de sa vie, il a “commencé à prendre des drogues, des pilules ou à boire de l’alcool”. “Je pense que c’était une façon de fuir la vie, la réalité, juste pour m’échapper. Je n’avais pas à y penser. Je savais que je n’étais pas heureux. Je devais faire quelque chose, mais je ne savais pas quoi”, considère-t-il aujourd’hui. Il explique équitablement empressé “cherché le bonheur” verso cette nectar, hormis le imaginer. C’est ainsi ce qui explique son recrudescence sur les terrains en 1991, à Monte Carlo, qu’il assidue puisque “une forme de cure”. “J’étais tellement heureux et je me suis dit, j’ai fait Monte Carlo et je suis de nouveau en vie”, dévoile icelui qui a remporté 11 Grands Chelems endéans sa manège. À l’péroraison de ce rixe parce que son addiction, il devra sinistrement en contraindre un divers, parce que un polype de la prostate qui se déclare en 2023.
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