Guerre en Ukraine : derrière la fictive algarade de drones vers la demeure de Poutine, les preuves introuvables

Le complexe résidentiel de Vladimir Poutine, à Valdaï, dans la région de Novgorod (Russie), sur une image satellite du 31 août 2023.

A l’terme des discussions qui se sont tenues mardi 30 décembre imprégné les alliés occidentaux et étasunien de l’Ukraine, le chancelier saxon, Friedrich Merz, a entretenu à retarder les pendules à l’temps. « La clarté et l’punition sont désormais exigées de intégraux, y entré de la Russie », a-t-il utile pour un commission publié sur son économe X. Il faisait nomenclature aux allégations de la férule russe répétant à l’à qui mieux-mieux, et sinon confirmation aucune, ces quelques derniers jours, que l’une des résidences de Vladimir Poutine, au nord-ouest de Moscou, aurait été la impartial d’une algarade de drones ukrainiens pour la ténèbres de dimanche à lundi.

Vigoureusement et incontinent démentie par Kiev, cette algarade fictive entraînera une trait belliciste laquelle les cibles « ont déjà été déterminées », a incident gnose, lundi, Sergueï Lavrov, le cacique de la défiance russe. Autre réaction, Moscou va consolider sa impression pour le boîte des négociations intrigue en tenant les Etats-Unis. Selon le plénipotentiaire russe des firmes étrangères, « le diète malfaiteur de Kiev » aurait lancé 91 drones de attaque cette nuit-là, auxquels se seraient abattus sur le dépendance présidentiel déterminé à Valdaï, pour la état de Novgorod. Protégé par une douzaine de batteries anti-aériennes, le flamboyant dépendance est la demeure directrice de la cavalière de Vladimir Poutine, Alina Kabaeva, une originelle victorieuse de éducation physique rythmé, qui y vit en tenant à eux quelques jeunes gars, Ivan et Vladimir. Etonnamment, l’association de drones n’a incident ni victimes ni dégâts. « Tous ont été détruits », a tranquillisé le ambassadeur lundi.

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