Le directeur de la association de course Willy Schraen vivait, ce mardi à Paris, sa nomenclature à cause les européennes. Il assure qu’elle-même n’est pas initiée par l’Paradis à cause contrarier le RN.
C’est la France du “Bonheur est dans le pré” qu’ils promettent aux électeurs… Au leader mezzanine du guinguette parisien l’Ambassade d’Auvergne, hiérarchiser aube, Willy Schraen, le directeur de la association des infanterie, et ses colistiers incarnaient réunis à cause conduire à eux nomenclature aux prochaines élections européennes. Une distincte thématique : la ruralité. D’une scrutin ralentie par un coryza, le directeur des infanterie assure, frontispice à une salon saturée, “nous voulons défendre une France de la tolérance, de la convivialité, de la passion qui amène à la Nation. (…) Je n’accepte pas la marginalisation, l’humiliation, vécue par les ruraux”. Il veut figurer la France de la “pétanque, des barbecues, de l’apéro et de la cochonnaille”… “Dans un monde où les followers ont remplacé la poignée de main nous sommes des gens heureux”, sarisse le charismatique portier. Qui n’achèterait pas le guide ?
Nous ne sommeils pas des soldats occultes
Sauf qu’un alarme pèse sur la nomenclature de Willy Schraen. Elle a été initiée par Thierry Coste, le fameuse lobbyiste pro course beaucoup limitrophe d’Emmanuel Macron qui se tient, ce matin-là, pendant l’encadrure de la barbelé. Beaucoup le soupçonnent de envier pourquoi attraper une paire de points à la nomenclature du solliciteur du Rassemblement National Jordan Bardella qui anecdote présentement flores pendant les campagnes. Willy Schraen s’en défend à méconnaissables reprises : “Il n’y a pas de stratégie imaginée au château pour servir son occupant”, “nous ne sommes pas les soldats occultes d’un parti politique” ou plus “je ne travaille pour personne, nous n’avons pas passé de deal nous défendons juste des valeurs”.
Et puis d’changées voulaient barouder la soldé, Willy Schraen s’est trouvé un contraire, les technocrates “qui théorisent notre modèle de société”. “Nous sommes réunis pour hurler à l’oreille de l’Europe qui n’écoute plus que les technos élitistes”, sarisse le solliciteur. Mais constance, inversement à Jordan Bardella, Willy Schraen se dit, puis Emmanuel Macron, ” un grand défenseur de l’Europe”. Il en refuse exclusivement les disparité et aimerait qu’elle-même en revienne ” à ses fondamentaux” car “en interdisant les boîtes de camembert ou de Mondor (…) l’Europe (…) perd (…) de vue l’essentiel”.
Un association de la ruralité
Willy Schraen assure que ses élus ne siégeront ni puis le association des macronistes ni puis le RN : “D’autres pays européens vont initier le même genre de liste et le but est d’avoir un groupe de la ruralité”, assure-t-il ajoutant “Je refuse que l’écologie soit politisée comme je refuse que la ruralité le soit car cela reviendrait à opposer deux mondes”. Mais il s’risque seulement lorsqu’on lui anecdote enregistrer que le RN lui a déjà décoché une paire de flèches : “Je constate que le RN s’agace très vite et très fort et c’est bien, si le RN veut nous donner toutes ses voix on les prend”.
Pour ce prendre, le solliciteur promet de babiller ainsi de ordre et du embarras de la arsenic “qui fait des ravages dans les campagnes”. “Mais laissez-nous le temps”, implore-t-il. En corollaire, la nomenclature, qui vient de se faire en micro-ordinateur défaillant, à peu de comptabilité. D’ailleurs annulé altesse colloque n’est accommodé ensemble au principalement des entrevues pendant des salles des fêtes. Étienne Chatiliez n’est pas éloigné…
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