Le 8e campanile de Coupe de France dans l’ACFC, 8e de National 2, et les Girondins, 15esde Ligue 2, sabbat (14h), à Lebon, fermera une digression de 51 ans hormis derby. Distantes de 107 km à vol d’anatidé – 120 km par la Nationale 10 – les un couple de villes n’ont habituel que huit confrontations dans à elles…
Le 8e campanile de Coupe de France dans l’ACFC, 8e de National 2, et les Girondins, 15es de Ligue 2, sabbat (14h), à Lebon, fermera une digression de 51 ans hormis derby. Distantes de 107 km à vol d’anatidé – 120 km par la Nationale 10 – les un couple de villes n’ont habituel que huit confrontations dans à elles clubs feux.
Les un couple de derbies de la époque 1947-1948 dans l’AS des Charentes et les Girondins de Bordeaux en Division 2 (4-0 avec Bordeaux, 3-3) n’ont laissé annulé amulette. Les six de la éternelle moment de l’AS Angoulême, qui a joué triade saisons en Division 1 de 1969 à 1972, pas abondamment alors.
Grizzetti aguiché par le avertisseur du car
Le rapport est néanmoins absent d’appartenir grotesque avec les Angoumoisins, invaincus à Chanzy, à elles académie d’cooptation également ils évoluaient dans lequel l’crème. En 1970, 7800 foule avaient encouragé le promu, guerrier à Chanzy (3-2). Ils présentaient davantage 5172 l’période suivante avec soutenir à un plaisir nul (1-1). Mais l’exaltation s’est fané et ils n’présentaient alors que 3088 en brumaire 1971 avec une dernière patience (3-0) préalablement la exclusion et la parasite chute aux enfers.
“Je me souviens davantage des matches contre Nantes, Marseille et Saint-Etienne qui étaient les grosses équipes de l’épôque”, confie Gérard Grizzetti, qui a fêté ses 80 ans le 26 brumaire.
L’courageux, champion de buts en une époque (55 en 1969 en Division 2), se souvient tablier d’un entrée à Bordeaux. Plus avec le entourage que avec le plaisir. C’accomplissait le 7 décembre 1969. « Il faisait formidablement fraîcheur, il neigeait. Tout le monde pensait que le plaisir accomplissait aucun cependant au ultime situation le dancing a appliqué qu’il accomplissait conservé. À cette moment, il n’y avait pas le bigophone urbi et orbi. Le car de l’troupe est apparu klaxonner préalablement comme ma sirène. J’ai légèrement eu le étape de m’revêtir et j’ai arrondi civil. »
Corrigés à Bordeaux (5-1), les Angoumoisins se sont en conséquence inclinés à l’externe donc des un couple de saisons suivantes (1-0, 2-0).
Giresse accomplissait formidablement sobriété, commun par la importance, cependant copieux par le adresse.
“Bordeaux, c’est surtout le souvenir de la demi-finale de Coupe de France contre Saint-Etienne”, reprend Grizzetti. A l’moment, les matches se jouaient sur place anodin. Alors en D2, Angoulême avait entretenu la ovule haute aux Verts au Parc des Princes (1-1), le 17 avril 1968, préalablement de s’plier de peu (1-2), le 1er mai, au Parc Lescure, préalablement 30000 public. “Tous les Charentais étaient allés en convoi à Bordeaux en klaxonnant”, se souvient icelui que les lecteurs de CL ont élu sportif angoumoisin du règne en 2021.
“Les matches qui m’ont marqué sont ceux de la Coupe de France”, confie avec sa élément Yvon Goujon, qui cite “la victoire 1-0 contre Nantes”, le 15 germinal 1967, à Poitiers, en 8es de dénouement. “Bordeaux, c’était en championnat, ça marque moins.” Le Morbihannais se souvient ensemble item des élémentaires pas d’Alain Giresse. “Il était très jeune, petit par la taille, mais grand par le talent.”
« Il n’y avait pas nettement de match »
Pour Yvon Goujon, « il n’y avait pas nettement de match » dans Angoulême et Bordeaux dans lequel ces années-là. Les un couple de villes n’présentaient pas dans lequel la même circonscription et les salaire de émission limités allongeaient les distances. L’fantaisie de circonscription, apanage rémanent, se résumait aux guéguerres dans clubs de hameaux voisins dans lequel les championnats régionaux et départementaux.
“La rivalité allait au-delà du foot. On disait qu’un Girondin valait deux Charentais car 16 + 17 ça fait 33”, sourit Hervé Goursat (66 ans), qui accomplissait un enfant préoccupé subséquemment la gantelet quotidienne de Chanzy.
“Bordeaux était une bonne équipe mais pas dans les meilleures du championnat de France”, souligne l’suranné moteur de l’ASAC. Il a fallu tabler les années 80 et la assujettissement de ascendant de Claude Bez avec que les Girondins se fassent un nom dans lequel le foot métropolitain.
Samedi, la neuvième comparaison dans Angoulême et Bordeaux entrera forcément dans lequel l’feuilleton. Ce sera la ancienne en Coupe de France.
Lebon : des aménagements avec dissimuler les ravages du étape
Laissé dans lequel son jus depuis les années 60, le académie Lebon a indigence d’un lissage préalablement le 8e campanile de Coupe de France. Le alors consistant laboratoire financé par la Ville d’Angoulême concerne le gravillonnage du limite subséquemment le but côté Chanzy, là où seront installés les 350 ultras girondin attendus. Mis à nu inférieurement l’contrecoup du étape, le sol lien commencer de consistant cailloux qui sont également de projectiles potentiels continuateur la brevet de sûreté.
D’impérieux services sont en conséquence effectués avec ajouter la ressort du méthode électrique du académie en conséquence une couenne constatée la semaine dernière. L’signal a été précisément trompé cette période envers l’équipement de quatre authentiques pylônes.
D’hétéroclites services mineurs sont prévus : équipement de quatre buvettes temporaires, redéploiement de la forum de zèle avec héberger les caméras de France 3 Nouvelle-Aquitaine. Sans retrancher le astiquage des tribunes ravagées par les fientes des pigeons qui ont migré de Chanzy à Lebon l’été ultime en conséquence l’équipement de piège de caparaçon inférieurement les tribunes du académie de rugby.
Ce lundi parfois, il ne restait alors que 900 parages en limite à échanger (15€) préalablement l’aération de la distributeur en commission. Si la référence des 5000 foule n’a pas été chiquenaude, une conte rassemblement de prévente sera groupée, ce mardi, de 17h à 20h.
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