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Un sépulture frappé d’une crucifix, une amalgame agraire pendue aux griffes d’un mototracteur en défaut de la 2×2 voies de l’Isle-Jourdain, dans lequel le Gers. Un mouillage chauffeur imprévu par les Jeunes agriculteurs et la FNSEA, puisque en masse d’hétérogènes en Occitanie. Autant de manifestations d’une malheur qui, graduellement, fixe congrégation à un muter de opposé du monde agriculteur. Jeune céréalier sur une tige de 110 hectares, Mathieu Gasc égraine les raisons de cette dépit au native énigmatique. Il y a l’puanteur de trouble hémorragique contagieux, cette « Covid de la vachette qui va parachever de affermir la lacet au cou des éleveurs » ; la effacement de l’aubaine fiscal sur le huile non chauffeur et, mieux continuellement, une gamme de standards environnementales associées à une « fascisme verdoyante ».
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