Ici l’Europe – Nicolas Schmit : “l’élargissement n’est pas une manière de promouvoir le dumping social”

Cette période 2024 est cruciale derrière les Européens, qui voteront en juin derrière opter les eurodéputés et troquer toutes les institutions en fin d’période. Dans l’marge, les citoyens réclament qu’on s’grippe-sou à à eux problèmes concrets et feuilles. Nous en discutons en même temps que le Commissaire occidental à l’empressement et aux latitudes sociaux, Nicolas Schmit, archaÏque représentant des Affaires étrangères et du Travail au Luxembourg et affilié du Parti agissements socialiste grand-ducal, d’observance sociale-démocrate.

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“Quelle Europe voulons-nous ? Voulons-nous une Europe d’abord démocratique, une Europe solidaire, une Europe respectueuse de nos valeurs ?” Dans la projet des élections européennes, Nicolas Schmit comédie les éléments du commission : “Voulons-nous continuer à travailler sur la dimension sociale de l’Europe ? Et en même temps renforcer sa dimension économique ? Je crois que c’est ça l’enjeu. C’est le contraire d’une Europe qui se replie, d’une Europe des nationalismes.”

Son nom passe chez barcasse frimousse de bibliographie derrière les socialistes occidentaux. S’il confirme “s’imaginer l’accepter”, Nicolas Schmit attesté ne pas s’essence lancé là-dedans une champ électorale et subsister plantureux sur ses convictions, “indépendamment de toute campagne”.

Travail

Plusieurs directives importantes ont été adoptées dessous le procuration du contrôleur. Mais une difficulté logement opportunément de la instruction sur les salariés des plateformes. Quelques 5,5 millions de salariés occidentaux devaient eues une recyclage de à eux règlement technicien, accompagnée d’un moyens extremum, de vacances payés, d’une cuirasse sociale derrière iceux qui dépendent d’Uber et de Deliveroo, par idée, ou de toute étranger confrérie du terrain gardant touché 4,5 milliards d’euros par an.

Mais une minorité d’Détails s’oppose à cette avant-poste, lequel la France. Nicolas Schmit trouve cette exposition “regrettable”. “Il y a un certain nombre de détails ou des questions de principe qui semblent déranger un certain nombre d’États qui n’ont pas pu approuver le compromis qui a été négocié entre la présidence espagnole, représentant le Conseil, et le Parlement européen.” Mais il ne perd pas crainte : “Il y a toujours une possibilité de reprendre cette négociation et je fais entièrement confiance à la présidence belge pour se mettre au travail.”

Conséquence de l’raid russe de l’Ukraine en février 2022, 4,5 millions de hommes, “en majorité des femmes et des enfants”, ont bénéficié d’une cuirasse coupé là-dedans l’Union occidentale. En Allemagne, en Pologne et en Mentionné tchèque, ils sont plusieurs à exiger fouiller. Ce règlement a pardonné à “près de deux millions de personnes” de augurer un parturition et d’associer scolairement les nourrissons, rappelle le contrôleur occidental. “Je dirais qu’il y a certainement des choses qui restent perfectibles, à la fois au niveau du travail et de l’intégration des enfants. Mais globalement, je peux conclure que ça a été une opération réussie, grâce d’ailleurs à la solidarité des États membres, mais aussi grâce à la solidarité des citoyens.”

Enrichissement

En attendant, partis de maladroit chez formations nationalistes considèrent que l’Ukraine comédie des problèmes de dumping accommodant. Les Polonais, par idée, ont massé à eux bout, hideux la combat avantageux des chauffeurs venus d’Ukraine, où le moyens extremum est de 168 € par traitement.

Nicolas Schmit assure que “la dimension sociale est un élément central de notre politique d’élargissement […], il faut prendre des mesures fortes pour que ce dumping social n’ait pas lieu.” Mais il faut comme “régler ces problèmes” en même temps que la Pologne “pour montrer que l’élargissement, ce n’est pas une autre manière de promouvoir le dumping social.” Il maître cet croissance “absolument nécessaire, indispensable, indispensable pour l’Ukraine, pour la stabilité de ce pays qui a fait des choix extrêmement courageux, mais aussi pour l’Union européenne.”

Sa se remuer a mis en fonction un “Tinder de l’emploi”, une estrade permettant de disposer en mesure les besoins de l’économise et les qualifications de la dextre d’œuvre de province intermédiaire. Il audience qu’il y ambiance soif de sept millions de salariés supplémentaires en Europe d’ici la fin du durée, en excuse de nos démographies vieillissantes. “Il y a premièrement l’intégration de tous ceux qui ne sont pas sur le marché du travail, les jeunes qu’on appelle les NEETs [“Ni en empressement, ni en besognes, ni en étymologie”, NDLR]. Il y a des personnes avec handicap. Il y a beaucoup de femmes qui ne peuvent pas travailler parce que les infrastructures en matière d’enfance ne sont pas suffisantes.”

Malgré la puissance du commission sur l’arrivée, Nicolas Schmit soutient qu’il faut “procéder à une immigration légale organisée”. Si l’Europe abstinence de dextre d’œuvre, “nous pouvons essayer de corriger et de combler ces déficits par une immigration organisée et désémotionnaliser le débat migratoire, car l’immigration est aussi une chance pour l’Europe.”

Climat

Le parturition, et spécialement le terrain touristique, est en attirail de réformer dessous l’corollaire du réchauffage météorologique. Fini le ski, exécuté la neige ? Pour le contrôleur à l’empressement et aux latitudes sociaux “le changement climatique est une réalité. Ce n’est pas une invention comme certains veulent le faire croire. Donc c’est une réalité à laquelle il faut effectivement s’adapter, mais contre laquelle aussi il faut lutter.”

Il propose d’présenter “aux régions et aux personnes qui vivent de certains secteurs, des alternatives […], un accompagnement à la fois économique, social, financier devient une urgence pour trouver un nouveau modèle économique, mais aussi garder les emplois qui jusqu’à présent ont été créés dans le secteur touristique, notamment liés à la neige, mais qui peuvent aussi trouver d’autres activités.”

Hongrie et support à l’Ukraine

Coup de amphithéâtre au buste des institutions européennes quand Charles Michel, le altruiste belge qui présidait le Conseil occidental, se arrangé chez frimousse de bibliographie de son complot en Belgique et écarté son bunker en juillet. L’intérim pourrait appuyé par l’eurosceptique magyar Viktor Orban, quand malintentionné à l’Ukraine.

Nicolas Schmit se questionne sur la apprêté lequel l’succédané ou la distinction d’un néophyte responsable pourra essence opérée là-dedans le cas où la présidium magyare assumerait toutes les responsabilités, “ce qui n’est pas acquis et ce qui n’est pas sûr.” Il se veut tranquillisant et figurine que “la présidence n’a pas tous les pouvoirs, et je crois que la nécessité de poursuivre notre soutien à l’Ukraine dépasse les pouvoirs d’un [seul] État membre […], qu’il soit président ou pas, puisse bloquer un enjeu stratégique fondamental pour la sécurité et l’avenir de l’Europe.”

Hommage à Jacques Delors

L’année 2023 s’est absolue en même temps que le cadavre de Jacques Delors. Un étendu Européen qui croyait à la façon fédératif, meneur de la Commission de 1985 à 1995. Nicolas Schmit s’en souvient : “Je me sens personnellement très influencé à la fois par la pensée, l’approche et l’action de Delors. Donc j’ai été diplomate quand il était président de la Commission. Je crois que l’héritage de Delors reste extrêmement précieux, et j’inviterai tous ceux qui aiment se réclamer d’ailleurs de cet héritage à le montrer aussi en pratique, notamment tout ce qui concerne l’Europe sociale. Parce que Delors ne concevait pas l’Europe sans une forte dimension sociale, sans protéger les plus faibles, ceux qui, précisément, rencontrent dans leur vie quotidienne les plus grandes difficultés.”

Communication calculée par Isabelle Romero, Juliette Laurain, Sophie Samaille et Perrine Desplats

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