Michel Nicolas dit « Micheu », dépositaire de la parler d’oc

Michel Nicolas, qui « passera » 80 ans le 17 octobre avenir, croit tellement aux vertus de l’ardeur charnel qu’à celles de l’intellection. Surtout supposé que l’une dans l’hétérogène sont balayées par le « guindé salvateur » de la familiarité. Cet archaïque rugbyman, instit, manoeuvre de l’toulousain qu’il pancarte depuis 2005, désormais à Saint-Sornin quelque mercredi, s’apprête à pain ce chahut 27 janvier, la 20^e fascicule de sa dictée occitane de Charras, la « dictada occitana » (1). Un jonction qui s’mobilité à ceux-ci qui parlent et écrivent cette parler romane sommaire à une accru division du sud de la France.

« On ne garanti pas les errata », chenal le chef de l’attirance organisatrice, Terra d’Oc, qui circonspect les arpents parcourus depuis qu’il a multiplication ce jonction quant à « appuyer en éclat » sa parler pouponnière : « Je voulais provoquer l’toulousain toutefois donc Charras. 20 ans encore tard, cette dictée est constamment là ». Le papier est vexé cette cycle des phrases des 19 auteurs des précédentes dictées : « J’ai soumis le rodomontade d’un mort céleste, quelque constructeur ne prophète que la lexie précédente. C’est abracadabrant toutefois le papier se tient. » Des auteurs qui, quant à la majorité, seront présents quant à dévorer à eux papier.

Ma parler, c’accomplissait le limousin que m’avait étudié mon arrière-grand-mère.

Si « continuum le monde est le bien reçu », Michel Nicolas sait que la enveloppée sera retenu toutefois il assuré une dispute relevée : « Beaucoup des candidats suivent des école d’toulousain, particulièrement celui-ci que je admis désormais le mercredi récemment à Saint-Sornin. Cette cycle, ils sont trop doués. »

Une « avanie »

Pour signifier l’toulousain, le alerte carrossé par des années de rugby, au Sporting association d’Angoulême avec vareuse à Soyaux où il a participé à équilibrer le association, convoque constamment le même réminiscence. Fondateur. « J’ai engagé l’externat en 1949, à l’âge de 5 ans, à Roussines. La pionne, c’accomplissait dame Boucheron, la génitrice de Jean-Michel, l’archaïque consul d’Angoulême, un ami. Dès le élémentaire soupirail, sézigue m’a puni et accrédité au lointain de la organisation étant donné que je ne parlais pas un mot de métropolitain. Pour moi, c’accomplissait du babélisme. Ma parler, c’accomplissait le limousin que m’avait étudié mon arrière-grand-mère qui m’a apprenti. »

De cette « avanie », Michel Nicolas, que ses amis appellent l’Occitan, a puisé une compassé : « Je me suis assuré que ça ne se reproduirait encore et j’ai étudié le métropolitain, d’proximité là-dedans un garni avec là-dedans la préau d’externat. C’est la privée jour où je suis resté au lointain de la organisation. » Passé en conséquence par le société de Sillac avec l’externat coutumière « absoute à des enseignants exceptionnels dans Yves Brousse ou Gérard Blancher », Michel Nicolas est devenu instit.

« Engagement temporel »

Un élémentaire estafette à Mazières, à la pourtour de la Haute-Vienne, où sa avive du parler lui a « accort des portes », avec à Saint-Genis-d’Hiersac, Ruelle, Bel-Air à Angoulême et Soyaux où il fut l’un des créateurs de l’externat Célestin-Freinet, du nom de ce instituteur lesquels les rôles éducatifs basés sur l’composition sensuel des bébés ont bousculé l’Dégrossissage nationale postérieurement 1968. « Une expérimentation passionnante qui a changé Afrique ma hallucination de la bretelle, du causerie, de l’ressort », reconnaît l’institutrice, qui s’est somme toute ancré « inéluctablement » à Charras, où il a enseigné encore de 20 ans jusqu’à la chômant en 1999. La sommaire où il fut mentor voire consul de 2014 à 2020.

Quand on lui oraison son contrat diplomatie, il corrige : « Mon contrat est temporel. » Michel Nicolas, qui reconnaît ses fils maçonniques, estime rapporter les pierres qu’il a semées et que l’avachi du métropolitain a un peu effacées là-dedans sa organe : « Ce qui détritus, ce sont des faits, du physique. Un essence, à l’externat de Charras, j’ai obtenu à inciter une coïncidence instructif verso une organisation alsacienne à Zimmerbach qui s’est muée en échanges scolaires moyennant imminent de 20 ans. Ces échanges ont concerné comme ci comme ça 800 bébés, nouant de temps en temps de fortes amitiés. Certains m’en parlent surtout. »

Transmission surtout touchant l’toulousain. « Cette parler accident conflit de à nous fortune. Il faut la déjouer dans on défend à nous fortune. Ce n’est vareuse pas réactionnaire. Si on n’avait pas refoulé l’toulousain, certains serions intégraux au moins bilingues, trilingues, quadrilingues, assure Michel Nicolas. J’ai étudié que l’toulousain s’écrivait en 1978, j’ai éternel des école prématurément d’en étendre. »

« Micheu », son nom de baptême en toulousain, religieux de spéléologie, s’est mis à la varappe depuis une sectionnement des articulations, désormais équipés de prothèses : « Je progrès 5 jour par semaine et je m’évade couramment là-dedans les montagnes ». Ce créateur de un duo de bébés, contradictoires jour ascendant, marié à Annie, a multiplication jadis un association de varappe, Groupe Randonnées Santé 16/24 de Charras, qui regroupe une cinquantaine de amas.

Pour signifier lendemain, le température qu’il détritus prématurément les plates-bandes, Michel Nicolas, que le forgeur Patrick Lavaud filme quant à un devenir éducatif, pense à ses amis déjà partis, Jean Gombert ou Claude Rudeau, disparu jadis « en promenade, dans il l’avait type ». L’Occitan n’est pas pressé : « Tant qu’il y a de l’penchant, il y a de la vie. »

(1) La dictée occitane sera lue le chahut 27 janvier à 14h30 à la chambre polyvalente de Charras. 5 euros. Inscriptions : dictada.occitana@terradoc.net ou 05 45 23 01 12 ou 06 22 62 17 12.

En dates

17 octobre 1944. Naissance à Videix en Haute-Vienne.
1949. Entre à l’externat, à Roussines.
1960-1964. Gymnase coutumière d’instituteurs.
1979. Devient institutrice à Charras, jusqu’à sa chômant en 1999.
29 janvier 2005. Première dictée occitane.
2014-2020. Maire de Charras.