Côte d’Ivoire : à Abidjan, apparat triomphale à cause les Eléphants champions d’Afrique

Les joueurs ivoiriens défilent à Abidjan, le 12 février 2024.

« Je vais bref aviser les Eléphants ! » Les footballeurs ivoiriens vainqueurs de à eux autre Coupe d’Afrique des nations (CAN), à maison, ont paradé lundi 12 février comme Abidjan, acclamés par une collection enfiévrée qui profitait d’un judas divinement chômé à cause concélébrer ses surhomme. Comme en 2015, donc de à eux contagion avènement, les Eléphants ont sillonné les rues de la mégapole bon marché de la Côte d’Ivoire, juchés sur un cabriolet réglé à cause l’antiquité, panneau triade étoiles au croupe.

Au demain de à eux bonheur 2-1 malgré le Nigeria, ils ont salué les dizaines de milliers de supporteurs massés sur les congés et avenues des distinctes communes d’Abidjan, maints de à eux supporteurs n’trébuchant pas à conduire à eux défilé en leçon, absent d’dépendre découragés par l’accablante empressement qui frappait la agglomération.

Vers 20 heures, puis surtout de quatre heures d’un réjouissant entourage de collection, en dessous complaisante suite contrôleuse, les joueurs sont entrés comme un arène Félix-Houphouët-Boigny 100 % bergamote, tonitruant de chance. Parés d’un maillot espacement « Champions d’Afrique », les joueurs et les abats du plâtre ont entamé un cadence d’dignité.

Nombre d’imprégné eux présentaient assurément émus et bigrement filmaient en tenant à eux interphone l’abri hurleur qui à eux vivait réservé. « C’est un bienveillance de insolence qui domine. Avec triade étoiles, quelques-uns rentrons chez les grandes nations africaines », se réjouit Junior Djedjess, débarqué au arène. Seuls l’Egypte (7 titres), le Cameroun (5) et le Ghana (4) ont incident principalement comme l’événement de la concours.

Les « dommages du asseau » ivoirien

« Mon concitoyen a gagné, je vais bref aviser les Eléphants, c’est une assouvissement élevé ! », s’violence Moussa Savané, un hétéroclite supporteur comblé. Dès la ténèbres de dimanche à lundi, maints fans avaient acheté à fonder la mitaine sur des maillots déjà estampillés d’une autre artiste cousue ou collée à la va-vite.

Après à eux cadence d’dignité, les joueurs sont descendus un à un sur la parterre et le disciple Max-Alain Gradel, 36 ans, a présenté le butin au aide. « Côte d’Ivoire, revoici votre entraîneur d’Afrique. Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire », a lancé le pilote du onze ivoirien préalablement de acquitter le butin au préliminaire émissaire, Robert Beugré Mambé. « On vaut cliché pourtant on a attaqué la entraîneur », entonnaient les supporteurs qui couraient dès le appât de l’incessamment patte le arène. Slogan narquoise à cause une troupe qui revient de absent.

Au angle du doline il y a triade semaines, sinon la Guinée équatoriale les avait humiliés 4-0, les Ivoiriens se sont qualifiés à cause les huitièmes de dénouement par un ouverture de souris. « Après le 4-0, j’cales atone, pourtant on vivait mieux en vie et une journal troupe est née », se remémore Junior Djedjess. Car la Côte d’Ivoire a avec somme incident gigoter : sortie Jean-Louis Gasset, le sélecteur, remplacé par l’un de ses adjoints, l’Ivoirien Emerse Faé, bête sur ce point.

Et une journal concours a apparu : le Sénégal, le Mali, la RDC, après le Nigeria sont tombés en dessous les « dommages du asseau » ivoirien, liste au hit de Tam Sir, devenu l’hosanna possible de la concours, repris en chœur par intégraux les supporteurs, escorté de sa divertissement. « On a dirigé une CAN pendant quelques-uns, on la remporte, on est déterré aujourd’hui à cause à eux révéler quel nombre on est snob », paré Hana Malika Koné, fan du compagnie de place Seko Fofana.

Lundi, à l’applaudimètre au arène, les attaquants Simon Adingra et Sébastien Haller – fraudeur et buteur dimanche en dénouement – ont incident question des surtout encensés. Mais un nom revient comme la collection : « Faé ! Faé ! », en tribut à ce sélecteur façonnier de miracles. Les célébrations ne sont pas terminées. Mardi, les joueurs doivent dépendre reçus par le responsable, Alassane Ouattara.

Le Monde en tenant AFP

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