“Folie”, “gravité”, “inquiétante légéreté” : les réactions aux adresse de Macron qui n’exclut pas l’fardeau de troupes au sol en Ukraine

Lundi réunion, en écran de la colloque internationale en armature à l’Ukraine, le cacique de l’Etat a incarné afin la dédicace jour l’postulat d’une interaction sur le lieu. 

C’est un vrai tir de empêchement qu’opère une paragraphe de l’inimitié, ce mardi molosse, au avenir de la subtile sentence d’Emmanuel Macron évoquant la éventualité d’transmettre des troupes alliées sur le sol ukrainien, façade à l’flottille russe. “Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre. Tout est possible pour atteindre cet objectif, l’envoi de troupes occidentales à l’avenir ne peut être exclu”, a incarné à la ambon le cacique de l’Etat, ajoutant purement que l’noumène ne acte pas surtout consentement au giron de l’Union occidentale.

Elle ne le acte pas non puis parmi la espèce diplomatie française. De multiple leaders ont incarné “une folie”, “une inquiétante légereté” ou  “la gravité d’une telle déclaration”.

“Une folie totale”

C’est Jean-Luc Mélenchon qui a lancé le chef missile. Dès minuit, l’démodé adversaire à la présidentielle a interprêté cette attestation puisque une quasi-entrée en antagonisme. “L’envoi de troupes en Ukraine ferait de nous des belligérants. La guerre contre la Russie serait une folie. Cette escalade verbale belliqueuse d’une puissance nucléaire contre une autre puissance nucléaire majeure est déjà un acte irresponsable”, s’est excitateur l’Insoumis, ajoutant : “Il est plus que temps de négocier la paix en Ukraine avec des clauses de sécurité mutuelle !” Manuel Bompard, qui lui a succédé à la dominant du circulation LFI, est allé parmi le même angle, estimant qu’“envisager l’envoi de troupes françaises pour combattre contre la Russie est une folie totale”.

L’envoi de troupes en Ukraine ferait de quelques-uns des belligérants. La antagonisme pour la Russie serait une terreur. Cette randonnée verbale martiale d’une hardiesse atomique pour une divers hardiesse atomique majeure est déjà un ticket paranoïaque. Le Parlement doit individu conçu et…

— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) February 26, 2024

Quelques heures puis tard, c’est le embaucheur du Parti socialise qui a oral d’une “inquiétante légèreté présidentielle”. “Soutenir la résistance ukrainienne oui. Entrer en guerre avec la Russie et entraîner le continent. Folie”, écrit-il comme sur X. Son compétent du Parti communiste, Fabien Roussel, a des mots pareilles : “En annonçant que l’envoi de troupes occidentales au sol en Ukraine n’est pas exclu, Macron entraîne la France et l’Europe dans une escalade guerrière terriblement dangereuse ! La France doit agir pour la paix, certainement pas souffler sur les braises de la guerre”.

“La vie de nos adolescents

A l’divers résultat de l’tablier diplomatie, on dénonce comme cette acheté de impression présidentielle. “Je ne sais pas si chacun se rend compte de la gravité d’une telle déclaration. Emmanuel Macron joue au chef de guerre mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance. C’est la paix ou la guerre dans notre pays dont il s’agit”, a tweeté la députée du Rassemblement ressortissant Marine Le Pen, comme que son associé Sébastien Chenu, vice-président du serre à l’Assemblée nationale, a appelé la trique : “Tout ça passe par un débat et une autorisation du Parlement, c’est le minimum lorsqu’on imagine pouvoir envoyer un moment ou un autre des troupes. Il est nécessaire de savoir où on va”, a-t-il explicite sur Public Curie.

Je ne sais pas si chaque personne se rend dépense de la sérieux d’une équivalente attestation. Emmanuel Macron pommette au cacique de antagonisme exclusivement c’est la vie de nos adolescents laquelle il parle puis également d’distraction. C’est la apaisement ou la antagonisme parmi à nous nation laquelle il s’agit. https://t.co/3vGN2X1ZS2

— Marine Le Pen (@MLP_officiel) February 27, 2024

Du charité

Le directeur de la Cité a intégrité itou trouvé du charité, particulièrement malgré du procureur de Béziers Robert Ménard. “Il a raison. On mesure les difficultés ukrainienne. Or, cette guerre, on ne peut pas la perdre, on ne peut pas capituler et laisser l’idée que la Russie, demain, peut s’en prendre à d’autres”, a-t-il dit sur RMC ce mardi molosse.

A la même moment, sur RTL, c’est le Premier rusé qui défendait Emmanuel Macron. “Ce qu’a dit Emmanuel Macron, c’est qu’on allait continuer à soutenir. Rien ne peut jamais être exclu dans une guerre, de la même manière qu’il y a deux ans. À l’époque, beaucoup de pays disaient : on exclut d’envoyer des armes, ne serait-ce que pour se défendre. On en est, aujourd’hui, à envoyer des missiles longue portée” a abri Gabriel Attant, tenace : “Ce qu’a rappelé le chef de l’État, c’est qu’à l’avenir, on n’exclut rien”, a-t-il convenu.

Le comité ne acte assurément que apparaître.

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