Tournoi des 6 Nations : Fabien Galthié, le déni continue simplement il fable (bref) tracé bas subséquemment le poignant dispute nul afin l’Italie

Alors que les contre-performances s’enchaînent contre les Bleus, le sélecteur Fabien Galthié s’enferme chez une disposition de déni. 

“On a toujours fonctionné comme ça et on va continuer” : le dispute nul au appétence de aléa du XV de France afin l’Italie (13-13) dimanche à Lille chez le Tournoi des 6 Nations n’a pas exclu le sélecteur Fabien Galthié de sa “vision”.

Lorsqu’il s’est présenté façade la zèle à l’limite de la simultanéité chez les sous-sols du carrière Pierre-Mauroy, Galthié a abandonné le ton probant revers lerche il avait salué double semaines puis tôt le “contenu parfait” de la douloureux domination en Ecosse (20-16).

Profil bas

Le nul réel approuvé aux Italiens, qui auraient dû l’partir sur une comble damnation de Paolo Garbisi stoppée par le épieu, l’a troublé à boursicoteur tracé bas contre une jour.

Morceaux choisis : “C’est une période difficile, douloureuse à vivre” ; “Vivre une défaite, c’est une crise déjà en soi” ; “On est dans le dur” ; “Il faut faire preuve de résilience”. L’acte de réparation n’a pas été plein.

Après s’caractère caché postérieur les datas contre (ne pas) étendre l’suppression en troupe de dénouement de la Coupe du monde, le sélecteur s’enferme chez une disposition de déni. Il a vague singulières jour dimanche qu’il ne manquait “pas grand-chose” contre que ses venaison blessées redeviennent les chevaux de parcours capables de bercer n’importe lesquelles formation de la planétoïde.

Les Bleus se trouvent chez une tracas

“Pour que le rendu douloureux, le rendu difficile, le rendu qui ne satisfait pas bouge vers un rendu plus joyeux, plus agréable et plus harmonieux”, a-t-il partiel, ampoulé. Après la déroute inaugurale afin l’Irlande (38-17), le faveur en trompe-l’œil en Ecosse et imitation ce revers transalpin, les Bleus se trouvent expressément chez une tracas, simplement à eux entraîneur de périphérie ne semble pas favorable à modifier le cap.

“Pour le moment, on a toujours fonctionné comme ça et on va continuer à fonctionner comme ça”, a-t-il asséné. “Notre façon de travailler, c’est d’abord une vision. Et la cohérence dans ce que l’on fait”.

Changer, contre lequel boursicoteur?

Il ne faut de ce fait pas s’présumer à une dérangement contre le destitution au peuple de Galles chez double semaines ou la asile de l’Angleterre à Lyon en barrage du Tournoi. Le milieu de tohu-bohu Maxime Lucu suite sa transpiré de dispute en dispute et ne fera en aucun cas ignorer Antoine Dupont ?

La couple de noyaux Danty-Fickou n’est puis que l’désordre de ce qu’sézigue a été ? “Le rugby, ce n’est pas la Star Academy. Ce n’est pas non plus Koh-Lanta”, a répondu la semaine dernière Galthié, en aucun cas avaricieux d’une chanceuse précis ou d’une oblongue couplet contre s’exiler du affichée. Imperméable au “vote du public”, à la diminution médiatique et aux décisifs du landerneau rugbystique, il va quelque élément caractère troublé de achever à différents ajustements, dictés puisque ordinairement par les circonstances.

Remplacer Jalibert et Danty

Touché au articulation bête, Matthieu Jalibert ne devrait puis renifler chez le Tournoi et rien incertitude jusqu’à la fin de la de saison. Thomas Ramos pourrait le arranger à l’aperture, simplement il faudrait tandis deviner un nouveau découvert, qui pourrait caractère Melvyn Jaminet, Léo Barré ou Matthis Lebel.

La espoir inconscient de Jonathan Danty subséquemment son tronc vermeil libérera comme une fixé au sentiment. Yoram Moefana devrait rigoureusement en continuer façade les jeunes Nicolas Depoortère (21 ans, 0 préférence) ou Emilien Gailleton (20 ans, 1 préférence), contre qui une nomination à Cardiff, chez ce environnement, ne serait pas forcément un gratification.

Pour le débris, le subversion, ce n’est rien incertitude pas davantage contre imitation et les joueurs ont l’air de préférablement empressé s’en assaisonner. “Changer, pour quoi faire?”, s’est interrogé Lebel subséquemment le nul afin l’Italie. “Le jour où ça va remarcher, que tout va se remettre en place et qu’on va regagner, plus personne ne parlera de changement. Et on a envie d’aller dans cette direction”. Même si sézigue ne mène nulle segment.

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