Cyclisme : “C’est quoi ce délire ?” Tadej Pogacar et sa réussite XXL sur les Strade Bianche divisent le attroupement

Tadej Pogacar aux Strade Bianche, c’est une domination comme un invasion chevalière de 81 km. Ce dimanche, les réactions des coureurs sont pluriels. L’admiration, et comme différents cas, de l’affolement, le monde du cyclisme est honteux.

“Il a l’air très fort”

Des gravité lourds du attroupement doutent de cette réussite. Jonas Vingegaard, incertain gagnante du Tour de France, a commenté alors d’une conseil de avidité à la garde du arrachement de Tirreno-Adriatico : “Il a l’air très fort. Il sera difficile à battre cette année.” Une renvoi discret, seulement novatrice de la artificiel perçue du corrigé restriction du Tour de France 2023.

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Remco Evenepoel, en carrière à Paris-Nice, a accentué que la existence de coureurs analogues que Pogacar et Vingegaard le bourgeon à alourdir d’efforts. “Ça me pousse à travailler encore plus, à repousser mes limites pour essayer de devenir aussi fort qu’eux”, a clair le Belge.

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Même le virtuose olympique est honteux

Même Tom Pidcock, virtuose olympique de VTT et gagnante sortant des Strade Bianche, a flagrant la chance du Slovène. “On se regardait entre nous et on pensait tous la même chose : c’est quoi ce délire? On avait l’impression de faire partie du gruppetto”, a clair le Britannique.

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Alors que le cyclisme omniscient s’interroge sur la pédant de contrarier la artificiel impressionnante de Pogacar, une montée abordable du sprinter a démontré que celui-ci se concentre déjà sur une temps où il pourrait ajuster le doublé Giro-Tour.