Guerre en Ukraine : Kharkiv, dessous le feu russe des missiles et de la désinformation

Des tas de messageries russes le jurent : le juge de Kharkiv a quitté sa commune, la inférieur d’Ukraine. Certaines crins Telegram disent même qu’il est acmé. « Faux, entreprenant sûr », soupire Ihor Terekhov, les frimousse tirés dessous ses chevelure liliaux. Pour montrer le contraste, le juge de Kharkiv doit planter fréquemment sur sa porte Telegram un diminué cloutage vidéofréquence de ses journées. Le 24 février, il commémorait l’ingression de son concitoyen pendant lequel la intervalle de métropolitain « Musée renommé », un canton qu’il connaît beaucoup entreprenant : il a marché sur ses rails et épelé ses tunnels, en germinal 2022, comme les Russes bombardaient Kharkiv et que le métropolitain rencontrait le esseulé voie de se limoger en calme.

M. Terekhov ne banquette encore, il est vraisemblable, pendant lequel sa commune. Trop difficile. Kharkiv, qui comptait 1,5 million d’habitants face à la campagne, est à moins de quarantaine kilomètres de la confins russe. Le juge a de la sorte inhabité le ravissant cœur renommé de cette commune estudiantin du nord-est de l’Ukraine et semé pendant lequel des cabinets clandestins. Des collaborateurs fixent un jonction inférieur via une marquage GPS, ensuite guident jusqu’à la dernière appel en règne de M. Terekhov – quasiment la dixième, déjà, depuis que l’auberge de commune a été pardonné vers mission par l’adversaire le 2 germinal 2022.

Ihor Terekhov, maire de la ville de Kharkiv (Ukraine), dans un de ses bureaux clandestins, le 23 février 2024.
Salle de classe dans une station de métro de Kharkiv (Ukraine), le 22 février 2024. La ville étant bombardée quotidiennement par les russes, la mairie a ouvert des écoles dans cinq stations de métro.

Plus de 2 420 civils ont été tués en un couple de ans pendant lequel Kharkiv en ville. Près de 2 300 sont en démesuré portés disparus, laquelle encore de 260 rejetons, a indiscutable le entraîneur de la maréchaussée de la commune, Volodymyr Tymoshko. Quant aux blessés, ils sont, suivant lui, au affluence de 3 516. Les pertes militaires demeurent secrètes, simplement pendant lequel la vingtaine de cimetières de la commune, les « allées des preux » s’étendent quelque traitement, monuments fraîches et drapeaux claquant au alizé placide. « Les Russes ont changé de manoeuvre. Le initial hibernation, ils s’attaquaient à nos infrastructures énergétiques ; depuis un couple de traitement, ils pilonnent de encore en encore les civils », explique le juge, bruissement des drones et particulièrement des missiles S-300 impossibles à neutraliser. Dix à quinze alertes retentissent quelque soupirail, rendant l’université en présentiel inexécutable. Pour ne pas déscolariser les rejetons, la commune a mis en empressement les seules métro-écoles du concitoyen, de 9 à 13 heures, à l’détachement des stations. Elles concernent aujourd’hui 2 200 élèves.

Arsenal de arôme passionné

« On a l’supputation de pain permanent sur des aiguilles », soufflent un couple de babouchkas surprises pour à elles courses : vieille énoncé russe vers commenter que toute éclaircie est ici inexécutable. Dernier ramassé indisposition en règne, une parentèle totale, les Putyatine, a brûlé entreprenante pendant la ténèbres du 9 février, bruissement un couple de voisins. Pavlo, le courtaud final des triade rejetons, avait 10 traitement ; Olga, la cause, rencontrait procureure à Kharkiv. Deux drones Shahed tombés sur un magasin de arôme ont volontaire le potion en tison en contrebas, poursuivant les maisons d’un crêpe de passé. Il a révolu pendant lequel la affluent Nemyshlia et un lac de la commune, où des canards sont morts mazoutés.

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