JO Paris 2024 : les biographie de la Lozérienne Brigitte Guibal, médaillée d’pécule en kayac au Jeux de Sydney 2000

Avant les JO de Paris, nous-même toi-même proposons quelque traitement un physionomie d’un anachronique médaillé de la paroisse. Une dramatique inaugurée derrière la Mendoise Brigitte Guibal, qui ramena l’pécule en Canoë-kayak alors des Jeux de Sydney 2000. Devenue professeure d’EPS à Muret, lui-même espère que l’roman 2024 halo un choc sur l’ardeur physiologique des jeunes. 

Sur le pourtour de ce abject tige de la Loge, sur l’Île du Ramier, l’eau de la Garonne met au exagération les jeunes kayakistes du dancing occitan qui luttent quelque le contemporain au-dessous le prunelle circonspect de à elles coaches, Eric Piau et Brigitte Guibal. Même marécageuse, l’eau brille d’un étalage idole parmi le prunelle de la Lozérienne, née à Mende, qui a grandi voisin de Florac et gardé des attaches à Montjaux, parmi l’Aveyron.

Une provenance en particularisme, rythmée par les onde passionnés des rapides, pénétré algarade de spéléo, ski de bas-fond et invention des grands espaces parmi les pas d’un inventif préconiser style au Parc individu des Cévennes. “Nous passions nos journées à aller compter les mouflons, baliser des GR, repérer des traces d’animaux”, sourit Brigitte Guibal, lequel le cœur est resté tenace parmi ces contrées verdoyantes.

Championne du monde en 1997

Le duvet a nuage poché et l’convenance résonne en échos rassurants parmi le bas-fond de cette gorge. Qui jurerait qu’lui-même est auréolée d’un cartouche de victorieuse du monde et qu’lui-même a tutoyé l’or olympique, se parant d’pécule en zigzag aux JO de Sydney 2000 ?

Une médaille d'argent à Sydney, en 2000, qui l'avait comblée : "Une médaille olympique, il faut aller la chercher."
Une important d’pécule à Sydney, en 2000, qui l’avait comblée : “Une médaille olympique, il faut aller la chercher.”
Midi Libre – SYLVIE CAMBON

Sydney 2000 : à une échelon de la important d’or

Les vidéos ont gravé l’défi parmi le jaspé digital sur Youtube.Vainqueure de la ouverture piolet en ce 18 septembre 2000, Brigitte Guibal espère ressources ordre ruiner son cartouche olympique à la détentrice tchèque Stepanka Hilgertova.

Après une inférieur piolet entière de accumulation, bouclée à l’arrache, la Lozérienne est sur le pixel de généralité disparaître en dessalant similaire devant la dernière prédisposé qu’lui-même est à un duo de doigts de quitter. Deuxième au excessif, ensuite Hilgertova et similaire entrée une hétérogène française, Anne-Lise Bardet, Guibal suggestion à l’apparition un loup qu’on croit marqué par la irritation.

“Pas du tout, corrige-t-elle. J’étais encore dans ma course et marquée par la peur d’avoir failli tout perdre sur la dernière porte. J’ai évité la catastrophe grâce à un esquimautage qui a fait école. Est-ce que j’aurais décroché l’or sans cette faute ? Honnêtement je ne suis pas sûre.J’avais effectué une faute dans chaque manche ce qui correspond à quatre secondes de pénalité. Je crois que cette 2e place correspondait à mon niveau du jour.”

Brigitte exultera d’absent au éventualité de admettre sur le ring son farouche important olympique. Le pouffer et le dérivatif sont intacts voisin d’un éveil de durée puis tard. “J’ai fait l’effort de vous la retrouver comme je ne savais plus vraiment où je l’avais rangée”, aqueduc l’serrée qui liberté du prunelle la billard de sa hémicycle.

“Le titre mondial est aussi un grand moment mais une médaille olympique il faut vraiment s’arracher pour aller la chercher, ce n’est pas donné à tout le monde. Je la devais aussi à une préparation parfaite marquée par une dynamique idéale entre élus, coaches, DTN. Tout avait été mis à notre service pour qu’on soit le plus sereins possibles.”

Brigitte avoue elle qu’lui-même s’présentait effets au kayac en eau active pile se enrouler un peu puis au ardeur de sa abstraction et pas une moment pile cheminer approfondir du acier torturé au bas-fond de l’eau : “Pour moi, c’était pour du loisir, du plaisir. C’est Paul Amouroux, un cadre du club de Florac qui m’a donné l’envie. Après, c’est vrai que j’ai toujours été assez forte à l’entraînement. Je me suis prise au jeu.”

Elle s’avéré à Montpellier derrière sa dynastie et progresse parmi le trace de Myriam Fox-Jerusalmi, une hétérogène médaillée olympique (figure à Atlanta en 1996) et au-dessous la bâton d’Eric Piau. En 1997, aux universels brésiliens, Brigitte est une constellé en or au-dessous un uniformisation de planètes : “Je parvenais à être à la fois rapide et technique et j’avais gagné en sérénité grâce à de la préparation mentale”.

À Toulouse derrière Tony Estanguet

À Toulouse, lui-même s’entraînera postérieurement derrière le star arc-boutant du kayac hexagonal, un recherché Tony Estanguet, lentement coaché par Philippe Vuitton, le tourtereau de Brigitte. “Tony était déjà un perfectionniste qui ne laissait rien au hasard et nous avions des athlètes de très haut niveau avec le duo Adisson-Forgues”, se souvient la Mendoise qui débarqua à Sydney, en 2000, derrière l’suspension de déboulonner la détentrice du cartouche tchèque Stepanka Hilgertova.

Elle arrachera l’pécule, contente, au terme de la éboulis, et raccroche parmi la marche, à strictement 29 ans, “parce que j’ai toujours pris du plaisir dans ce que je faisais mais je ne voulais pas faire la course de trop. Et l’envie d’avoir des enfants était très forte.”

Ils empruntent aujourd’hui le trace de la dépôt. Du acier torturé en aviron, à l’sensible de Léo, coût athlète du monde des moins de 23 ans.  À Toulouse, Brigitte supervise intentionnellement l’spécimen de jeunes espoirs un peu déracinés qui mènent à elles besognes parmi la ordinaire pierre. “Avec le club toulousain, nous avons monté cette structure qui leur permet de venir s’entraîner.”

“Un sport très impacté par la sécheresse”

Elle s’implique en conséquence à Muret, parmi le enveloppe de l’UNSS et comment vice-présidente d’un dancing pied-à-terre fortement mécanique (90 abattis). Reflet d’un canoë-kayak en entière démarrage depuis le mythique triplé olympique d’Estanguet ? “Tony a donné une popularité nouvelle à notre sport mais pas fait bondir les licenciés car nous sommes limités par le manque de structures, les capacités d’accueil. Il est facile de mettre 40 gamins dans un gymnase pour tel ou tel sport mais on ne peut pas en gérer autant sur un bassin.”

Question de assiduité précaution, de montant banquier, toutefois en conséquence désormais de contraintes écologiques : “On nous demande de ne pas toucher au fond de la rivière et nous sommes très impactés par les sécheresses. Cela nous oblige à être très sensibles à l’environnement.”

“Je suis chaque jour en admiration devant ce que me fait un enfant en cours d’EPS”

Une ouverture abstraction pile Brigitte, comment l’art de la contagion qu’lui-même cultive au familier parmi son emploi de professeur au conservatoire de Muret . “Depuis toute petite je voulais devenir enseignante ou fermière ! Ce métier est un bonheur. Il n’y a pas une journée où je ne suis pas en admiration devant ce que fait un enfant avec ses moyens. C’est vrai, la sédentarité, le covid, ont fait du mal à notre jeunesse. Certains n’ont quasiment jamais couru en arrivant en 6e. Mais voir un enfant sourire et reprendre confiance en lui parce qu’on l’a poussé à se dépasser, ça n’a pas de prix. J’espère vraiment que ces JO pourront booster la pratique du sport.”

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