A Caraman, des élus répondent au procureur démissionnaire

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Les sermon tenus par le procureur justifiant sa abdication font protester les élus de sa doué dénombrement.

Jean-Clément Cassan a annoncé dimanche se démettre de son correspondance de procureur de Caraman qu’il occupait depuis 2011. L’élu avait mis en inscription une incapacité de adhérer la nombre de ses adjoints à sa orientation évoquant “un suicide collectif (…), un blocage absurde”. Suite à ces sermon, les élus de sa nombre réagissent en “affirmant leur engagement pour l’avenir de la commune”. Il s’agit de Benoist Couliou (1er assesseur), Marie-Gabrielle Moulis-Daymié (2eme adjointe), Nicolas Goury (3eme assesseur), Sophie Giraudon, Daniel Lasman, Héléna Lasman, Séverine Moïchine, Franck Morel, Gilles Rouyer, Laurence Vignard (Conseillers municipaux). Pour eux, “la démission de Jean-Clément Cassan n’est pas vraiment une surprise. L’été dernier, il avait déjà annoncé sa volonté de ne pas aller au bout de son mandat. Ce qui nous interroge, c’est son changement radical de position, quelques mois seulement après une réorganisation du conseil municipal qu’il avait souhaitée. Ce qui nous déçoit, c’est la violence de ses prises de parole, pour justifier sa décision de postuler à de nouveaux mandats. Car mettre en cause comme il le fait publiquement des personnes qu’il a choisies, à l’engagement reconnu, n’est pas seulement regrettable, c’est indigne”, disent ces élus.

Les élus poursuivent donc: “En ce qui concerne le PLU , Jean-Clément Cassan nous a demandé de soutenir une révision immédiate à laquelle les membres de la commission “architecture” se sont opposés à plusieurs reprises. Nous souhaitons tous accueillir de nouveaux habitants. Mais la seconde station d’épuration, préalable indispensable à tout nouveau projet d’envergure induisant une croissance de la population de Caraman, ne sortira pas de terre avant 2026 et la commune n’est même pas propriétaire du terrain qui doit l’accueillir”. Ces élus disent actif “proposé un compromis : lancer la révision du PLU dans un an, soit avant septembre 2025. Elle sera alors finançable et l’équipe élue en 2026, quelle qu’elle soit, participera à son élaboration finale. De manière totalement incompréhensible, cette solution a été violemment rejetée.”.

Une dénombrement en création

Les élus expriment vice versa à elles conflit à compléter les projets en institution, équivalents que la gîte autoconsommation, le city-stade, les tribunes du lice de rugby, la mise à jour des terrains de tennis, et l’réconfort du cantine de vie d’ici 2026. Ils soulignent autant à elles couches contre commencer l’rejetons du hameau. Leur dénombrement contre les prochaines élections municipales reflétera ces justes, réunissant des personnes désireux de lancer une démocratie douce et de planifier une éblouissement commune et ambitieuse contre Caraman.

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