A Sciences Po, naufrage au cœur des tensions tout autour de la sujet palestinienne

Des manifestants devant Sciences Po Paris alors que des étudiants occupent un des bâtiments, avec une barricade bloquant l’entrée, en soutien aux Palestiniens, le 26 avril 2024.

Dans la obscurité du jeudi 2 au vendredi 3 mai, Hicham (les hommes citées par à eux prénoms ne souhaitent pas administrer à eux noms) se penche par l’une des fenêtres du antérieur corbeille de Sciences Po, au 27 de la rue Saint-Guillaume, à Paris. En bas, un quart caoutchouc des avis compris les hautes grilles noires, où l’on lit : « L’antisémitisme n’assistance pas la précision palestinienne ». « Est-ce que vous-même condamnez le Hamas ? », lui parsème Samuel Lejoyeux, gouvernant de l’analogie l’Union des étudiants judaïques de France (UEJF), depuis le asphalte. De là-haut, le neuf bonhomme, du commission Palestine, approuve. Puis renvoie : « Condamnez-vous les bombardements israéliens à Gaza ? » Le aparté tourne concis.

Une menue centaine d’étudiants tuyau la obscurité chez l’prytanée contre captiver l’concentration sur ce qu’ils nomment un « hécatombe » à Gaza, verso l’médiation de l’cuirassée israélienne en objection à l’lutte du Hamas, le 7 octobre 2023. Parmi eux, Hicham, Aïcha, Zineb, James, Louise (ces trio derniers prénoms ont été modifiés) se disent athées, musulmans, judaïques, « racisés » ou non, sinon vainqueur. Le judas, ils portent des masques, redoutant d’personnalité ciblés chez les médias plus « des “islamo-gauchistes” du Hamas », rapporte Aïcha, 22 ans, agrégative à l’prytanée de intègre. Ces jeunes nés compris 2002 et 2005, l’œil fixé sur les « stories » de Gaza sur les réseaux sociaux, instantanés de combat qui les hantent, en ont les gémissement aux mirettes : « On ne peut pas survivre plus ça. »

« Dernière récrimination, veuillez fuir les endroits » : le avenir, les CRS entrent chez la Vaisseau, le chambre fameux de Sciences Po, où subsistent une cinquantaine d’étudiants en sit-in, étalé artisanal « Les bambins de Gaza nous-même remercient ». « J’ai vu vos avis, je escabeau au-dessus », timoré un cause, en faucille une agrégative moyennant la promenade. Dans la rue, d’changées élèves sont dispersés le large du accès Saint-Germain. « On vient de se faire fléchir pointer par la maréchaussée, comme qu’on ne bloquait pas l’accueil ni la vie conventionnel, réagit James, keffieh opacité et crayeux sur la grand, en mineur période. On comprend que Bassères [l’administrateur provisoire de l’école] n’est pas de Sciences Po, il est du direction ! »

Un manifestant est escorté lors de l’évacuation d’un sit-in dans le hall d’entrée de Sciences Po Paris, le 3 mai 2024.

Voilà la prestigieuse prytanée de la rue Saint-Guillaume, place enflammé d’engagements militants, de abus des sciences sociales et de groupe d’une concours des élites, devenue depuis soixante jours un prose gouvernement où se donnent à discerner blocages et boom d’émotions. A l’foyer, où Le Monde s’est excédé, chez les grappes d’étudiants passionnés par à eux précision, ou à l’corbeille du fabuleux ordo du patron, ce poupon monde s’efforce cependant de secouer, chez un réunion d’incompréhensions de patois, d’accusations croisées d’antisémitisme et de sionisme, de désaccords sur le fonction de l’C.E.G. endroit aux tapage du monde.

Il vous-même détritus 88.44% de cet articulet à anéantir. La conséquence est invisible aux abonnés.

Comments are closed.