Au dancing de tennis de l’AS Bas-Rhône à Nîmes, le dirigeant de la FFT Gilles Moretton salue le aisé rebondissement de son manège

Gilles Moretton réalise son période de France des clubs et des ligues. L’vieillerie de révérer le tuerie du séance du Gard.

6 % de exacerbation nationale en chiffre de licenciés et… 11 % parmi le Gard, l’un des départements les puis dynamiques ! Très franchement le tennis a (à bizuth) la certificat et c’est parmi ce contenant là que le dirigeant de la syndicat française, l’antique pro Gilles Moretton, est débarqué au dancing de l’AS Bas-Rhône à Nîmes contribuer à la 12e halte du période de France des clubs et des ligues.

Devant les responsables des clubs, du séance du Gard (Stéphane Duplissy) et de la Ligue Occitanie (Philippe Belou), le dirigeant de la FFT a lancé une date lequel l’dessein est “d’échanger, partager les bonnes pratiques autour de la modernisation des écoles de tennis”.

“De 3 à 102 ans !”

Avec 1,1 million de licenciés en France et 13 200 parmi le Gard, qu’est-ce qui explique ce recrudescence contre le tennis ? “D’abord l’après-Covid, reconnaît Gilles Moretton. Il y a eu un changement de mentalité. Avant, il y avait un côté zapping, consommation. Désormais, les parents restent davantage au club avec leurs enfants, s’investissent… Ensuite, l’émergence du padel. Cela nous a ramené des gens dans les clubs, des anciens joueurs de tennis. Troisième point, c’est l’accent mis sur le tennis santé. On a une population vieillissante et le tennis se pratique de 3 à 102 ans. Parmi les plus de 90 ans, on a une quarantaine de joueurs encore classés !”

Enfin, le dirigeant souligne l’singulier sujet, escortant lui, de cette jolie naturel du tennis en France : “On a mis en place des outils de proximité, du lien entre les comités départementaux et la fédération. On a augmenté de plus de 50 % l’aide financière aux clubs. Et on est en train de faire muter nos écoles de tennis où on ne s’occuper trop souvent que de smeilleurs. “

Malgré globalité, le dirigeant ne se désintéresse pas de l’aristocratie, absent de là, en même temps que parmi le judas le combat du Grand Chelem Roland Garros (parmi un couple de semaines) avec les Jeux Olympiques qui se dérouleront… à Roland Garros !

“C’est une année qu’on attend depuis longtemps ! Mais même si ces deux compétitions se dérouleront sur le même lieu, elles seront différentes. L’une ressemble plus à une course de demi-fond (Roland Garros, avec son tableau à 128 joueurs ou joueuses et ses matchs en trois sets gagnants), l’autre à un sprint (les JO, 64 joueurs, deux sets et, inévitablement, une terre battue plus sèche au mois d’août). On a beaucoup de joueurs qui se sont focalisés sur ces compétitions…” Avec l’prévision de rapporter des médailles.

Bas-Rhône : un brouillon permanent… uniquement en pause

Le séance départemental de tennis du Gard, qui n’a pas d’officialisation apte, est privilège sur son dédaigneux brouillon de constructions et rénovations sur le ville de l’AS Bas Rhône. “En 2022, le bail emphytéotique de la mairie avec le club allait à son terme, explique Stéphane Duplissy, président du comité. On a demandé à prendre cette convention pour mettre en place notre projet. Mais il y a un point de blocage avec la DDTM.”

Aggiornamento de courts, filiation de terrains de padel ou pickleball et, essentiellement, accroissement des locaux en même temps que la filiation d’un couche élevé sont parmi les cartons. Mais, escortant Stéphane Duplissy, celui-ci sujet crée “un point de friction”, au vu du PPRI. Le séance est quoique globalité permanent parmi ses démarches “par la Ville” et par la syndicat française de tennis, pardon l’a réafirmé, ce vendredi, son dirigeant.

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