Bâtiments incendiés, policiers et gendarmes blessés… conséquemment la Nouvelle-Calédonie est secouée par des émeutes

L’atoll métropolitain s’embrase, comme que les indépendantistes s’opposent au espoir de dérangé de la Constitution. Un couvre-feu a été décrété sur assis.

Un couvre-feu a été instauré, mardi, à Nouméa, uniquement la enceinte manifeste La Première a indiqué de originaux “incendies, blocages et pillages” en Nouvelle-Calédonie.

Des émeutes liées à l’auscultation à l’Assemblée nationale, à Paris, d’un espoir de dérangé de la Constitution délicat d’allonger le groupe électoral de l’île, desquelles s’opposent les indépendantistes.

Le consul de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a événement bordereau d’un préalable constat de 52 policiers et gendarmes blessés et 82 personnalités interpellées au classe des une paire de derniers jours et a annoncé l’valise de renforts de maréchaussée sur assis.

Des bâtiments et véhicules incendiés

Selon Louis Le Franc, haut-commissaire de la Convoqué en Nouvelle-Calédonie, 50 commerces et firmes et 200 véhicules ont été incendiés. Le Haut-Commissariat a annoncé l’abstention de la aéré d’casse-pattes et des jubilation et arrêt d’panonceau.

L’station de Nouméa a été fermé, lui, jusqu’à jeudi.

“En Nouvelle-Calédonie, on connaît le lourd tribut de la violence, on sait qu’elle ne résout rien, qu’elle ne mène à rien. Les violences ne sont ni justifiables, ni tolérables”, a réagi, mardi, le Premier consul, Gabriel Attal, donc de la symposium de questions au pouvoir à l’Assemblée nationale.

“Un enjeu démocratique majeur”

Le vice-amiral du pouvoir a proscrit les signaux de l’concurrence de bâbord à pendre ce espoir de “dégel” du groupe électoral, “un enjeu démocratique majeur demandé par le Conseil d’État pour permettre aux prochaines élections provinciales de se tenir”, a-t-il publication.

Gabriel Attal a malheureusement indiscutable qu’Emmanuel Macron ne convoquerait pas le Congrès, assertorique en cas de adoucissement constitutionnelle, une coup le dissertation voté et a nommé à percevoir “la main tendue du dialogue”, vers de naître à un acceptation diplomatie principalement spacieux.

“Le Président et le Premier ministre écriront à toutes les parties calédoniennes pour les inviter dans les prochains jours à Paris », afin de « trouver un accord global pacifique”, a annoncé Gérald Darmanin précocement la image nationale.

Une fable insatisfaite

Les discussions sur l’ultérieur de l’île avaient engagé en 1988, derrière une décennie de conflits et de dommages séparatistes. Elles avaient culminé bruissement la acquis d’otages d’Ouvéa, au classe lesquelles 19 Kanaks et une paire de soldats furent tués les 4 et 5 mai 1988, après, un an principalement tard, bruissement l’crime du commandant séparatiste Jean-Marie Tjibaou et de son balancier honnête au FLNKS Yéwéné Yéwéné.

Une étrenne temps a été passage en 1988 bruissement les accords Matignon-Oudinot. Signés par les partis indépendantistes, les partis loyalistes et l’Justificatif métropolitain, ils ont fabriqué trio provinces et marqué une confession banale du assemblée canaque.

Dix ans principalement tard, l’acceptation de Nouméa a événement de l’atoll une corps d’outre-mer à ordonnance délirant et encadré les consultations à procéder. Depuis, seuls les natifs et les résidents de oblongue siècle peuvent avaler fragment aux élections provinciales et aux référendums, vers de ménager l’consonance compris la peuple kanake – spontané de l’atoll – et les arrivants venant de France métropolitaine.

“Notre peuple isolé”

Mais la grosseur d’électeurs privés de votation n’a terminé de bouffir et le consul de l’Intérieur souhaite acquiescer aux personnalités vois depuis au moins dix ans sur l’île d’enrôler les factures électorales. Les indépendantistes redoutent, eux, que ceci réduise principalement le force du assemblée spontané canaque sur l’île.

“Le dégel du corps électoral conduit notre peuple à être isolé dans son propre pays”, bédane Daniel Wéa, gouvernant du Mouvement des jeunes Kanaks en France.

Trois référendums d’autodétermination se sont tenus depuis 1998, complets soldés par une soumission du “non” à l’affranchissement, même si le nouveau a été boycotté par les abusifs de la désunion, qui dénonçaient surtout son règle en entourée indignation hygiénique.

Comments are closed.