En pâturage à cause le Tarn-et-Garonne, Jean Lassalle et Willy Schraen “à la rencontre des gens de la vraie vie”

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De la case des fantassins de Saint-Cirq à la hall Bonnaïs de Caussade où les attendaient 500 monde ce mercredi soirée 15 mai, les candidats de l’Alliance rurale réalisaient en nation ramassé en Tarn-et-Garonne.

On peut participer né en calanque d’Aspe et se prévoir avec comme soi à cause les élévations boisés du Quercy caussadais. Jean Lassalle, élevé de bordereau avec Alliance rurale aux élections européennes, en a donné l’planche ce mercredi 15 mai à cause le Tarn-et-Garonne.

Il est 13 h 20 comme l’révolu légat des Pyrénées-Atlantiques arrive sur le stationnement de la case des fantassins de Saint-Cirq, fatigué par imminent de cinq heures de chaussée en camping-car. “On est partis à 8 h 30 de Lourdios-Ichère, il faut déjà beaucoup de temps pour arriver à l’autoroute”, raconte son brigand.

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L’dehors tendre de Thierry Cabanes, gouvernant de la coalition de vénerie, réuni par ses collègues du Tarn et du Lot ; du procureur de Saint-Cirq Guy Rouziès et des administrateurs de la Chambre d’agrobiologie, gouvernant Alain Iches en élevé et un spacieux buvette rustique redonneront subitement des oriflamme au Béarnais… et toute sa raillerie.

“Nous sommes les défenseurs de l’Europe à condition que celle-ci arrête de nous emmerder.”

De ce côté-là, Jean Lassalle a trouvé un antagoniste plus Willy Schraen. Le Nordiste, gouvernant de la coalition nationale des fantassins, n’a pas sa langage à cause sa gousset au opportunité d’élargir par conséquent il a décidé de bâtir cette bordereau avec les Européennes. “Nous sommes les défenseurs de l’Europe à condition que celle-ci arrête de nous emmerder.” Et de chahuter cette “Europe très punitive qui, dans le domaine environnemental, a augmenté de 700 % les normes en 10 ans. Le coût de la surnorme pour la France s’élève à 84 milliards par an. Avec ça, il n’est pas étonnant que la France économique et la France des métiers n’arrivent plus à se développer.”

Dans la cabane des chasseurs de l’AICA Saint-Cirq/Septfonds, Jean Lassalle et Willy Schraen ont longuement échangé avec les chasseurs et les agriculteurs.
Dans la case des fantassins de l’AICA Saint-Cirq/Septfonds, Jean Lassalle et Willy Schraen ont longtemps échangé plus les fantassins et les agriculteurs.
DDM – P.-J. P.

Ce allocution est forcément capital permis à cause l’électorat agraire. Willy Schraen, en fin économie, a cataclysme parabole au muter de ressentiment des paysans clique d’lointain du Tarn-et-Garonne. “Je remercie le monde agricole. Vous avez initié quelque chose, qui n’a pas encore payé autant que vous l’auriez espéré. C’était votre mouvement, il n’était pas question pour les chasseurs de se l’approprier mais sachez que si demain, vous avez besoin de soutien, nous viendrons avec vous et pas pour faire de la figuration.”

C’est à cette France-là, qui croit mieux approuvable de ravitaillement et de bosser à cause une ruralité chanceuse attachée à ses traditions, à ces “gens de la vraie vie” que les candidats de l’Alliance rurale sont venus conférer en Tarn-et-Garonne lorsque d’une jour qui s’achevait en réunion par une union commune avec lesquels avec de 500 monde réalisaient attendues à Caussade.

Pour le plébiscite du 9 juin, le gouvernant ressortissant des fantassins et l’révolu légat centriste ambitionnent de “dépasser les 5 % pour avoir des élus et essayer de créer un groupe européen de bon sens rural, pour remettre l’église au centre du village”, espère Willy Schraen.

“Si vous nous envoyez là-bas (NDLR : au Parlement européen à Strasbourg), Jean, cette grande gueule du Sud et moi, grande gueule du Nord, faites-nous confiance pour nous faire entendre, car il y a quelques coups de pied au cul qui se perdent là-bas dans les bureaux.”

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