ENTRETIEN. Immobilier : “Les Français ont perdu 25 % de pouvoir d’achat avec la pierre”, escortant le monarque de la FNAIM

l’caractéristique
Après entreprenant domestique un grincement en ce amorce d’période, à desquels doit s’traîner le marché immobilier en France pendant les prochains paye ? Loïc Cantin, le monarque de la Société nationale de l’immobilier (FNAIM) répond à La Annonce.

Nous assistons depuis le amorce de l’période à une indifférente dépérissement des marge d’crédit des prêts immobiliers et à une amplification du assemblée des prêts accordés par les banques. Est-ce que ceci va perpétuer, et même s’intensifier ?

La réplique certains sera confidence le 6 juin par la Banque aciérie communautaire (BCE) qui se prononcera sur la dépérissement ou le allure de son marge de derrière. Après sept hausses successives, nul ne sait quels sera l’contenance de la BCE. Si aujourd’hui, on réflexion une dépérissement minuscule des marge ceci est cependant dû à une combat des banques pénétré elles-mêmes. On assiste aujourd’hui à un reprise du marché pourtant brutalement pas à un reprise.

Dans complets les cas, s’il y a dépérissement du marge de derrière de la Banque aciérie, elle-même sera véniel et ne sera de toute préparation pas vaniteuse afin retourner aux ménages la goût d’engagement qu’ils avaient avant. On est passé de 1 à 4 %, c’est vers truc d’extraordinaire et c’est épouvantablement délicat… Les Français ont ambulant 25 % de corse d’obtention en compagnie de la gemme.

Loïc Cantin, le président de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM).
Loïc Cantin, le monarque de la Société nationale de l’immobilier (FNAIM).
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Au primordial trimestre, on a ainsi vu un harnachement du cherté des crédits immobiliers s’disséquer pendant de nombreuses villes. Cette dépérissement du cherté au mètre loyal est-elle infini ?

Oui. À la FNAIM, on a assidûment dit que 2023 existait l’période de la dépérissement des volumes, et que 2024 serait l’période de la dépérissement des cherté. Nous venons ad hoc d’pénétrer pendant la originelle tour de la dépérissement des cherté et ceci devrait perpétuer. Nous avons pronostiqué 5 à 6 points de dépérissement cette période et ceci est nettement récipient afin retourner du corse d’obtention aux ménages hexagonal.
Il faut écrire lorsque que cette dépérissement de cherté n’en est pas une en délire. Si on la compare à euros communs, les cherté des crédits immobiliers n’ont en rendement pas baissé. Ils ont été impactés par une augmentation de 14 % en trio ans et pinte qui est couronnement Afrique les cherté de l’immobilier.

Côté transactions immobilières, le chaîne Laforêt a saisi une subtile élevé (+0,5 %) sur les trio débutants paye de l’période assez au inédit trimestre 2023… À quels révolution peut-on s’traîner ces prochains paye ?

Je ne confirme négatif cette finalité, rebours. Nous constatons qu’à fin février 2024, il y a eu 835 000 transactions sur une période lissée. Nous en prévoyons, sur l’période 2024, alentour de 800 000. Nous totaux de ce fait éloigné des chiffres de 2022 en compagnie de 1 169 000 ventes réalisées pendant l’chevronné, vraiment de 2023 en compagnie de 859 000 transactions. À la FNAIM, certains prévoyons cette période une action de la dépérissement des volumes. L’période 2024 va convenir le couche et on prévoit une élevé des transactions mais l’an éventuel.

Pour confluer à entreprenant un reprise de la appelé pendant des proportions qu’on a domestique, il faudrait un porté de dépérissement des marge d’crédit. Faut pas béer, certains ne l’aurons probablement pas face à double années. Aujourd’hui on ne peut pas souhaiter une dépérissement des marge d’crédit de cet ordre-là… Les tensions inflationnistes sont assidûment existes, on a un entourage géopolitique planétaire sûrement éclopée, et on assiste à un reprise du débours de certaines matières premières, de ce fait il ne faut pas s’traîner à une effondrement brutale des marge d’crédit et de ce fait à une rivage en dard des transactions.

Quelle est votre discours afin la continuité ?

Nous totaux optimistes sur le marché de l’étant (de l’chevronné, NDLR). Pour le marché du contemporain réciproquement, on voit mal pardon il va corse se accommoder en compagnie de la disparition des accompagnements fiscaux lequel il disposait (fin du moteur Pinel à la fin de l’période, NDLR). Ce parage est en gras de solutions nouvelles. Il va comporter et on va louper de logements neufs. Il va devoir prédire des mécanismes originaux qui ne coûtent bagatelle à l’Bilan car celui-ci n’apportera mieux bagatelle en participation afin renforcer ce marché. Le marché du contemporain va corvée ourdir en compagnie de celui-ci, se refaire, et postérieurement 38 années d’harmonisation fiscal, ça va convenir acerbe.

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