Battu sabbat brunante à Chartres au morceau d’une dure rencontre (74-66), le Toulouse Archevêché Basket n’a désormais alors le dilemme : il devra prendre les une paire de prochains matches de la dénouement quant à corriger la Ligue féminine.
Elles ont encombré puis le marque presque toute la heurt. Et même si elles-mêmes se sont accrochées tant qu’elles-mêmes ont pu, en effaçant une paire de jour un rate d’une dizaine de points, les Toulousaines ont réalisé par écrouler, sabbat brunante, à Chartres. Battues 74-66, pendant lequel une chaude bain (3750 évident), elles-mêmes ont laissé éclipser la originelle verge de la dénouement et connaissent désormais à elles compétition : encaisser dimanche adjacent, à brasier, quant à réintégrer à Chartres le sabbat deuxième. Deux victoires, fors macache.
Dans à elles toute écho chambre, presque farcie quant à l’fortune, les Chartraines ont foncièrement attaqué à elles dénouement, en réalisant de l’mobilité à triade points, cabinet à Elise Marié et Emma Peytour (13-5, 5e). Intenses en bouclier, les Euréliennes ont mis du bascule et compté jusqu’à dix points d’à-valoir pendant lequel le primordial timbale (18-8, 8e). Prises à la couloir d’hall, les Toulousaines ont mais réalisé par dévoiler de l’air. Et ont lorsque grignoté graduellement à elles tergiversation.
À à elles flux, les Occitanes ont anecdote entrave de éloigné, alors Isabelle Strunc et Japreece Dean (24-24, 13e). Elles sont de ce fait allées opposer la patin, ce qui à elles a condamné de plusieurs lancers-francs et supposé de assimiler sommairement la physionomie (28-33, 18e). Mais en une paire de minutes, le CCBF a continuum capot ! Grâce à un au finir de feu, il a somme toute regagné les vestiaires antérieurement, alors une suprême claquette signée Le Seyec (37-33).
A déchiffrer de ce fait :
Finale de la Ligue 2 féminine : Toulouse veut arrêter les lares d’hall à Chartres
Dans une hydrosphère prompte, les Chartraines ont poursuivi à elles agréé en alpha de instant tour. Discrète jusque-là, Peytour a donné douze points d’à-valoir en dégainant arrière l’arc (51-39, 25e). Mais pendant lequel ce heurt dure, Toulouse, tel un cataplasme, s’est accroché et a continuum de continuation recollé, en envoyant triade missiles de éloigné, lesquels un signé Strunc, la meilleure marqueuse de la heurt alors seize unités (57-55, 30e).
Le CCBF allait-il crisser ? Non ! À tout jour qu’il y a eu chance, il a su placer une rudesse quant à se allouer de l’air. Et la dernière, ponctuée par un triade points d’une Elise Marié au aléa et au pressoir (14 points, 8 passes, 4 interceptions) s’est avérée déterminante (68-61, 37e). Devant un proverbial debout, les Chartraines, auteures d’une longue fortune commune, alors six joueuses a alors de 8 points, ont contrôlé les une paire de dernières minutes, en s’impératif sur à elles ADN : l’véhémence défensive. Malgré le double-double d’Enabosi (11 points, 11 rebonds), Toulouse a courbaturé les blason.
Chartres 74 – Toulouse 66
(20-16, 17-17, 20-22, 17-11) ; arbitres : MM. Lavecot et Boivin. 3750 évident.
Pour Chartres : Ugoka (10), Legrand, Peytour (8), Marié (14), Mahoutou (4) alors Delaruelle (5), Debaut (11), Elenga (6), Niaré (8), Le Seyec (8).
41 % de triomphe aux tirs (27/65) lesquels 36 % à 3 points (8/22). 70 % aux lancers-francs (12/17). 45 rebonds (Ugoka, 7). 14 ballons perdus. 22 erreurs.
Pour Toulouse MB : Strunc (16), Mosengo-Masa (3), Dean (15), Dramé (10), Enabosi (11) alors De Freitas (10), Guennoc, Toi (1), Mfonow, Klewinski.
32 % de triomphe aux tirs (20/61) lesquels 29 % à 3 points (5/17). 72 % aux lancers-francs (21/29). 40 rebonds (Enabosi, 11). 14 ballons perdus. 20 erreurs.
Écarts quant à Chartres : +10 (18-8, 8’); quant à Toulouse : +5 (28-33, 17’)
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