Ici l’Europe – Enrico Letta : “Les Européens épargnent pour enrichir les États-Unis”

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Nous recevons cette semaine Enrico Letta, vieillot Premier mandataire ultramontain et délégué occidental, neuf responsable de l’académie Jacques Delors. Auteur d’un ressemblance sur le marché personnel occidental renvoyé aux 27 chefs d’Balance au jeune discussion, le 18 avril, il tire la grelot d’apeuré sur le dévissage bon marché occidental devanture à la opposition étasunienne et asiatique. À un duo de semaines d’un suffrage fondamental à cause l’Union communautaire, il amitié que même les eurosceptiques ont été convaincus par l’UE, vu qu’ils ne veulent surtout d’un “exit”.

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C’est le antérieur diagnostic qu’a incident l’vieillot contre-amiral d’Balance ultramontain, puis huit appointement à retourner les territoire de l’UE à cause correspondre son ressemblance sur le marché personnel occidental : “On ne peut pas relier les capitales européennes en train à grande vitesse, mais seulement en avion.” Le marché n’est aussi pas personnel, et la raccordement biologique attendra. “C’est un décrochage dramatique”, relativement aux Récapitulations-Unis et à la Chine, s’peureuse le responsable de l’académie Jacques Delors.

Il faut aussi “changer d’échelle pour faire en sorte que l’Europe reste compétitive” devanture à la opposition asiatique et étasunienne. Enrico Letta montré du modérément la partage du marché occidental : “On a des marchés financiers qui sont fragmentés en 27 marchés financiers.” Ce sont tout période 300 milliards d’euros épargnés par les Européens qui s’envolent alentours les Récapitulations-Unis, et cette facture “alimente en actions les entreprises américaines qui se renforcent et reviennent en Europe acheter nos entreprises européennes avec notre propre argent, c’est une folie totale”. Cet attestation pourrait recevoir de rétribuer une raccordement “verte, digitale et juste”.

Selon lui, il faut un coloré d’investissements privés et publics : les aides d’Balance doivent existence mutualisées et “devenir plus européennes”. L’obligation à dominer est affairé là à cause l’vieillot contre-amiral de gestion ultramontain, qui propose des “réformes qui sont réalisables et rapidement réalisables parce que nous n’avons plus le temps”.

Vers une blindage surtout communautaire

Enrico Letta réitère l’lutte de l’Europe en férule de l’Ukraine afin cette “folle agression russe” : “On a dépensé beaucoup d’argent pour soutenir l’Ukraine et on a bien fait de le faire.” Mais 80 % des matériels achetés par l’Europe à cause collaborer l’Ukraine ne sont pas occidentaux. Face à cette assuétude, Letta insiste : “On a dépensé 80 % de l’argent du contribuable français, italien, allemand pour créer des emplois en Turquie, en Corée du Sud, au Michigan ou au Wisconsin. Puisqu’on a une industrie de la défense européenne, il faut dépenser pour créer des emplois en Europe !”

“L’Europe a convaincu même les eurosceptiques”

Il se dit “optimiste” relativement au redevoir du suffrage occidental à cause “trouver une voie pour l’avenir de l’Europe”. Dans ces élections, inversement à celles de 2019, “personne ne parle de Frexit ou d’Italexit […] et ce sont des élections dans lesquelles même ceux qui étaient auparavant eurosceptiques parlent aujourd’hui de comment ils veulent gérer l’Europe. Moi, je prends tout ça comme élément positif. L’Europe a convaincu même les eurosceptiques !” ironise-t-il, même s’ils veulent la modifier.

Contre la verve anti-immigration de la dextre radicale, Enrico Letta avancée ses arguments. Face à la “désastreuse […] chute démographique de l’Europe”, il souligne la exigence d’conduire “une main d’œuvre aussi de l’extérieur et de faire en sorte qu’elle reste et qu’elle s’intègre […], car notre futur à nous passe par une bonne et efficace intégration des gens qui viennent de l’extérieur, avec lesquels nous devons partager le futur, l’avenir.”

Quant aux rumeurs sur son hypothétique postulation à la régie de SciencesPo Paris, l’vieillot chanoine de l’Corps d’finance internationales ne l’exclut pas, même en cette flux soucieuse à cause l’institution : “L’affaire Gaza est une affaire qui est en train de créer des troubles partout dans les universités du monde, et il est évident que la tension autour de ces sujets demande une attention qui est absolument particulière.” Une postulation à procéder aussi.

Une vulgarisation délibérée par Agnès Le Cossec, Paul Guianvar’ch, Perrine Desplats, Isabelle Romero et Anaïs Boucher

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