JO de Paris 2024 : “film d’horreur”, “explosions 5 à 10 fois par jour”… Malgré la désaccord en Ukraine, ces championnes jumelles seront aux Jeux

Malgré les alertes aériennes, les bombardements et la tourment qui rythment à elles intime, les jumelles ukrainiennes Maryna et Vladyslava Aleksiiva, championnes de nage esthétique, se sont qualifiées derrière les JO de Paris, où elles-mêmes porteront la “responsabilité” de invoquer au encore à elles contrée, estiment-elles.

Les sœurs de 23 ans, médaillées de monument à Tokyo en 2021, ont consommé par effeuiller à elles savoir-faire en février frais lorsque des Championnats du monde à Doha.

Mais elles-mêmes sont passées par un monte-charge sentimental acharné antérieurement l’entérinement de à elles collection derrière Paris. Elles ont d’proximité quitté le Qatar en réalisant persuadées d’disposer raté la savoir-faire, antérieurement d’abstraction inondées de messages de bravos maints jours alors tard.

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“On n’a pas compris ce qui s’est passé”, reconnaît “Vlada”. “Mais, finalement, on a obtenu le dernier quota.”

“C’est un grand honneur pour nous et pour toute l’Ukraine, en ce moment, de représenter notre pays aux Jeux Olympiques, surtout en temps de guerre. C’est une grande responsabilité pour nous de montrer au monde entier que l’Ukraine peut participer”, affirme-t-elle d’un ton vénérable, interrogée par hétéroclites médias à Paris hors champ d’une bâton de la Coupe du monde de nage esthétique.

“C’est déjà un grand objectif d’être présent aux Jeux. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour représenter notre pays au plus haut niveau”, ajoute-t-elle.

“Un film d’horreur”

Depuis les Championnats du monde, les jumelles ont été contraintes de renoncer Kharkiv derrière amener s’mener à Kiev. “Nous avons compris que nous ne pouvions pas avoir une bonne préparation à Kharkiv à cause des explosions 5 à 10 fois par jour”, explique Maryna.

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Mais “nous avons peur pour notre famille qui est restée. C’est près de la frontière avec la Russie et, à Kharkiv aujourd’hui, ce ne sont plus des roquettes, ce sont des bombes. […] Beaucoup de choses ont été détruites. Vendredi, ils ont détruit un gymnase à Kharkiv où s’entraînent des jeunes judokas et plusieurs d’entre eux ont été blessés”, raconte-t-elle, le allure sérieux.

À Kiev, la conditions est certes moins tendue que pour à elles agglomération natale, toutefois elles-mêmes ne sont pas derrière beaucoup épargnées par la désaccord.

“C’est parfois comme dans un film d’horreur. On entend une explosion et on doit immédiatement courir vers un abri. Mais, pour nous, c’est devenu normal. On vit dans ces conditions depuis plus de deux ans. Parfois, en pleine nuit, tu dois quitter ton lit et tu ne sais pas exactement où tu dois courir”, repousse Vlada.

Le postérité, “il faut aller à l’entraînement, plonger, continuer à s’entraîner et à se préparer pour les Jeux.” “C’est très dur mentalement et émotionnellement. Physiquement ça va, mais mentalement c’est dur”, disent-elles à l’ressemblance.

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Et même lorsqu’elles-mêmes sont en affluence à l’allogène, la désaccord ne dispensé par hasard clairement à elles caprice. “Jeudi, à Paris, il y a eu un gros orage, c’était si fort, on a eu peur. Et puis on a réalisé : ‘Ah non mais on est en Europe, tout est calme ici’. Mais certains bruits nous font peur”, décrivent-elles.

“Ça va être incroyable”

Vendredi, lorsque de la adjoint période de la Coupe du monde, les jumelles ont accueilli la quatrième assis de l’fatalité savoir-faire disputée pour le comburant inédit épicentre lacustre de Saint-Denis, qui accueillera les obligations olympiques.

“C’est tellement agréable […] d’être parmi les premiers athlètes à nager dans la piscine des futurs Jeux. C’est un grand honneur pour nous”, sourit Vlada.

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Dans moins de triade appointement, elles-mêmes seront de rapatriement à Paris, derrière les JO cette jour, en même temps que l’loyal d’y matérialiser “une grande performance”. “On s’est tellement préparées pour ces Jeux. On ne peut même pas imaginer à quel point ça va être incroyable. Tous les sportifs seront là et on espère qu’il y aura beaucoup de sportifs ukrainiens”, pleine Maryna.

Ce à hein à sa sœur ne peut s’refuser d’redoubler pour un charmer : “Tout d’abord, on doit être en vie !”, antérieurement de solliciter : “Non, c’est une blague… C’est un grand objectif de représenter notre pays, surtout maintenant. Participer aux JO, c’est déjà un grand objectif. Nous devons donc d’abord aller aux Jeux olympiques et ensuite on verra.”