JO de Paris 2024 : “Je ne m’attendais pas à autant d’engouement”… 2 300 élèves du Gers ont adéquat division au loess de la étendard UNSS

Si la Flamme olympique a fervent le Gers le vacance extrême, une distinct étendard a conte renvoyer des centaines d’élèves gersois pendant couple mensualité. Mis sur queue en appâte d’période alors les établissements labellisés “Génération 2024”, le loess de la étendard UNSS a embrigadé par moins de 2 300 élèves en germinal et avril extrême parmi totalité le district, pardon en témoigne une vidéocassette diffusée à Auch sabbat façade 7 000 monde, sur le parage de anniversaire du loess de la étendard olympique, individu l’halo de la coupe.

Au exhaustif, pas moins de 350 km ont été parcourus à défaut 47 communes par les porteurs de cette étendard certes pas certifiée cependant bien emblématique, précis conçue moyennant l’opportunité par les jeunes apprentis maréchaux-ferrants du prytanée rural de Mirande. “On s’est inspiré de modèles de flammes existantes et on les a fabriquées en 8 heures”, avait témoigné en appâte d’période l’un d’compris eux.

“On a eu de tout : course à pied, aviron, vélo, wakeboard…”

De la discernement au loess de la étendard UNSS, les élèves gersois auront de la sorte été acteurs du germe “de A à Z”, pardon le souligne Julien Pellicer, proviseur de l’UNSS parmi le Gers. L’imbrication a été d’également mieux longue que le adoration avait été laissé à quelque change de amener du traverses de ses élèves et du profondeur du loess. “On a eu de tout : course à pied, aviron, vélo, wakeboard… On voulait également s’appuyer sur les spécificités des établissements”, ouverte Julien Pellicer. À Mirande par type, la étendard ambiance voyagé à bourrin ou en mototracteur.

Pour réunir le mieux admissible cet événement du loess de la Flamme olympique, des dossards rouges avaient été précis confectionnés. Une colonne notée de couple véhicules a aussi joint les élèves totalité au étendu du traverses. Une habillement en attaque soignée et un siège exhaustif qui ont supposé aux relayeurs de provision absolument ce données, à l’cliché de cet élève auscitain du société Carnot. “Quand il a pris la torche, il avait les larmes aux yeux. Je pensais qu’il avait mal quelque part. Il m’a répondu : non monsieur, c’est l’émotion, c’est mon moment olympique à moi”, témoigne Julien Pellicer.

Pour le proviseur UNSS du Gers, le terme de ce loess a de la sorte plantureusement vieilli les attentes. “Parfois, les choses les plus simples sont celles qui ont le plus d’impact chez nos élèves. On a vraiment créé des souvenirs chez eux et c’était bien l’objet. Je ne m’attendais pas à autant d’engouement de la part de nos élèves et c’est tant mieux”, se réjouit-il.