Le Premier ambassadeur gaulois Gabriel Attal a alerté sur une exacerbation des activité antisémites en France, alors du nourrir du Crif à Paris, lundi. Il a placé que “366 faits” ont été rapportés au initial trimestre 2024, ce qui représente “une hausse de 300 %” sur un an.
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La France connaît une “déferlante antisémite”, délié le Premier ambassadeur Gabriel Attal. Il a annoncé, lundi 6 mai, que “366 faits antisémites” avaient été enregistrés en France au initial trimestre 2024, sinon “une hausse de 300 % par rapport aux trois premiers mois de l’année 2023”.
“Personne ne peut nier cette déferlante antisémite. Personne ne peut nier le fait qu’on estime que les Français juifs représentent 1 % de la population française, mais que plus de 60 % des actes antireligieux sont des actes antisémites”, a précis le contre-amiral du régie là-dedans un conférence alors du 38e nourrir du Crif (Conseil député des institutions juives de France) à Paris.
Face à cette élargissement, “pas un acte ne doit rester impuni, pas un antisémite ne doit avoir l’âme tranquille”, a affirmé le Premier ambassadeur en promettant de “faire preuve d’une fermeté exemplaire à chaque acte”.
À engouffrer quant àAlexandre Bande, pamphlétaire : “L’antisémitisme est structurellement ancré dans la société française”
Déplorant qu’il ne sinon pas conciliable de trancher explicitement le afflux et les condamnations à cause des activité intérimaire en allégation de la culte, il a annoncé renfermer demandé au ambassadeur de la Justice, Éric Dupond-Moretti, “de trouver les moyens de mettre en oeuvre un recensement de ces cas et de ces condamnations partout en France”.
La France rebelle et le Rassemblement territorial pointés du soupçon
“L’islamisme est un péril grave pour notre République et un des visages les plus dangereux, les plus destructeurs de l’antisémitisme”, a-t-il quant à affirmé, promettant de “s’attaquer frontalement à l’islamisme et au séparatisme”.
Le contre-amiral du régie s’en est par autre part attaqué à la France rebelle et à son meilleur Jean-Luc Mélenchon qu’il a taxé d'”agiter les haines, commettre les sous-entendus les plus indignes”.
“J’ai souvent eu honte ces derniers temps (…). Honte en écoutant certains élus de la France insoumise parler de mouvement de résistance” au émettrice du Hamas, a-t-il affirmé.
Mais il a quant à critiqué le Rassemblement territorial, en lançant : “Ne nous laissons pas berner par le cynisme absolu de ceux qui disent soutenir les Français juifs par réflexe anti-musulmans.”
Quelques jours ultérieurement des mobilisations propalestiniennes là-dedans le monde estudiantin, particulièrement à Sciences Po à Paris, Gabriel Attal a finalement placé qu'”il n’y aura jamais de droit au blocage” car “nous n’accepterons jamais qu’une minorité manipulée prétende faire la loi”.
Avec AFP
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