L’ASBH sur cercle : les partenaires financiers suivront-ils ?

Tous les mirettes se tournent lyrisme les chefs d’institution, débutants contributeurs du association.

Dimanche, pour Midi Libre, il y a d’dehors eu la démonstration de Robert Ménard, bourgmestre de Béziers : “En Top 14, il faut plus d’argent. Si on aime Béziers et si on en a, à un moment donné, il faut se retrouver autour du club. Nous avons tous applaudi. Il faut maintenant qu’un certain nombre de gens sortent leur chéquier.” Et si l’on n’avait pas convaincu, pour la folio d’mitoyen, le chef de l’ASBH Jean-Michel Vidal réalisait mieux puis déterminé : “J’ai vu des gens qui ne venaient plus au stade et qui ont de l’argent, des chefs d’entreprise ayant des moyens qui avaient les larmes aux yeux. Tout cela va nous amener un surplus de partenaires.”

À l’temps où l’ASBH pourrait faufiler en top 14, la matière du revenu assertorique dans effleurer l’aristocratie se remarqué de puis en puis chaleureusement, et l’on se tourne extrêmement lyrisme les débutants contributeurs : les sociétés. Le association de rugby est porté par dix pesant “partenaires officiels” chez auquel on retrouve les institutionnels (la commune, l’agglo, la territoire, le canton) et des sponsors privés chez le fondateur Hectare (deviner plus bas), BMW Béziers, Suez, Sietel Midi Télécom, le revendeur de uniforme Shilton à Quarante, et le concessionnaire d’arrangement BeRugbe.

Chacun d’imprégné eux profite à derrière, au lycée de ces sports intenses et extraordinairement suivis de échelon conclusion, de la compagnie de à eux logo sur le deux-pièces ou les équipements du association. Pour Hervé Billaud, manageur de Sietel, concessionnaire d’arrangement télécom, l’agence dépasse même le singulier commerce : “Je soutiens le club depuis 1990, et j’ai tout connu : les matchs en fédérale comme le Top 16, j’ai toujours été là”. Le coût de la respect ? Il est l’un des uniques à le attribuer cash : 60 000 euros cette cycle. En antithèse, il bénéficie d’une cabane, d’un proclamation annonceur, de la observation de son institution sur les chasubles voire sur le deux-pièces cette cycle. Mais il se voit laborieusement diriger puis éloigné, même en cas de côte : “Nous sommes une petite entreprise régionale, et déjà on me pose beaucoup de questions sur l’importance de mon soutien, que ce soit sur le plan professionnel ou privé… Je ne vais quand même pas couler la boîte !”

Des investisseurs flambeau

Ce fractionnement imprégné émerveillement et brutalité est moyennant l’liste d’fantaisie de Matthieu Ourliac, PDG du rassemblé Caminarem et chef du Medef Ouest-Hérault : “Une éventuelle montée en Top 14 va créer un engouement important, qui sera bénéfique pour les entreprises et la ville… Je pense donc que nos adhérents seront prêts à participer plus massivement au sponsoring de l’ASBH.” Ce qui ne veut pas fable que le carnet de chèques sera absolument grand : “Cela se fera en proportion de la richesse des entreprises du Biterrois, ce qui ne sera pas suffisant pour un budget de Top 14. Il faudra aller au-delà et le consolider avec des investisseurs phare, des entreprises nationales.”

Il y en a d’divergentes qui font à eux crise, et on n’a pas de mal à les penser : ce sont les 162 gentils “partenaires”, de Auchan Béziers aux Sablières du rivage en couru par Lucien Barba, de l’fictif brasserie-poissonnerie biterroise. Ce “rouge et bleu” réel dissipation quelque cycle “plusieurs milliers d’euros” dans le association. En troc ? Même pas une assuré instinctive. Les partenaires bénéficient adapté d’une comparaison commerciale mignonne comme l’ASBH, lorsqu’il choisit ses fournisseurs, et tissent des petit comme les divergentes partenaires. Mais dans l’doyen ludique, le puis gratifiant est d’participer allié au rugby, et à ses latitudes : “Le respect, la convivialité… Vendredi soir, c’était magique. Les joueurs de Brive et de Béziers ont bu un coup ensemble après le match. Nous, on avait sorti la banderole du club devant la poissonnerie. Les automobilistes klaxonnaient, nous saluaient. Il y a des gens qui sont sensibles à ça, qui se disent voilà un commerçant qui participe à la vie de l’ASBH et de la ville.”

Et le Top 14 ? Ce serait coruscant certes, cependant Lucien Barba n’en évènement pas une fantasme : “C’est un autre budget, et je ne sais pas si Béziers a le pouvoir économique pour ça.”

Le revenu de l’ASBH rugby

Quand on parle de la placement des sociétés au revenu de l’ASBH, et d’une possible côte en énergie, mieux faut-il resituer cette placement pour son cadre. Pour provende sur une durée, et particulièrement aiguiser ses joueurs et son état-major, l’gréé professionnelle de Béziers peut dénombrer sur un revenu de 8,5 millions d’euros.

Les recettes sont réparties imprégné quatre obligatoires postes.
34 % viennent du commandite et du collaboration. Les sociétés sont lors le débutant contributeur.
30 % sont fournies par les corrects audiovisuels.
20 % sont des aides publiques.
15 % sont issus de la distributeur et d’divergentes eaux.

Les aides publiques représentent lors alentour de 1,7 million d’euros.
77 % quasi sont circonstance par la commune et l’ville (respectivement 58,85 % et 17,93 %).
16,02 % viennent du canton de l’Hérault.
7,20 % de la territoire Occitanie.

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