Les maires des petites communes bricolent l’arrangement des 38 panneaux électoraux pile les prochaines élections européennes, le 9 juin. Fermeture d’un dépôt, parallélogramme en forêt et blocus… Les maires ont précipité d’usine uniquement poussent en conséquence un écorchure de ouverture.
“Cette année, c’est la foire.” En triade cartes blanches de magistrat à Rouffiac-des-Corbières, Franck Guichou est devenu domestique des élections. Dans sa collective d’lourdement 80 personnalités, il a généralement mené l’arrangement des panneaux électoraux. Mais les Européennes de 2024 sont un cas à portion, du oncques vu revers 38 comptes synonymes de 38 panneaux à coudre contigu des agences de avis. Dans son cas, l’magistrat a dû conduire un arrêté communal de dépôt arrêt sur la occupation responsable pour de les renfermer. “Les petits villages, nous ne sommes pas équipés, déplore Franck Guichou. Avant on pouvait mettre les affiches électorales dans les deux sens du panneau mais maintenant c’est fini. Alors on fait comme on peut.” Le préexistant édile a incident portion de son grogne à la arrondissement de l’Aude et balance, revers d’méconnaissables maires, correspondre un diligence au éparque, Christian Pouget.
Jacques Galy, magistrat de Lapradelle-Puilaurens, ne décolère pas. Et vaincu un murmure d’égarement : “Installer ces panneaux électoraux est normal, c’est le rôle de la mairie et de la démocratie. Mais qu’est-ce qui nous dit que les militants de ces listes vont venir coller leur affiche ? Rien”, s’agace le magistrat qui ajoute imposer les placer là où il peut dans lequel son cité. “S’il y a seulement cinq affiches à la fin, c’est honteux et ça ne donne pas une belle image de cette élection.”
Panneaux de forêt
Le rafistolage s’est aussi supplétif aux fonctions des mairies. Certains édiles ont monté des panneaux en forêt, pile d’méconnaissables le accord s’est porté sur l’obtention de authentiques panneaux. C’est le cas d’Hervé Antoine, préexistant édile de la collective de Villeneuve-la-Comptal et ses 1 300 habitants. “Ces échéances politiques nous coûtent cher. Nous avons investi dans des plaques en métal en plus, il fallait des stocks supplémentaires qui mobilisent le personnel communal”, soupire-t-il rappelant que les collectivités font à elles comble pile honorer les menstruations imposées. Hervé Antoine a impartialement blessant l’jaloux office de avis dans lequel la séjour des fêtes. “Là-bas, on avait suffisamment de place pour les installer. Pourvu que les électeurs se déplacent…” Rendez-vous le 9 juin.
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