Les Indiana Djeuns, quatre amis de Saint-Jean-de-Védas vont seconder à la balade de viatique à reproche Red Bull

Quatre Védasiens vont aller assortiment à la balade Red Bull de caisses à reproche, le dimanche 2 juin, à Toulouse.

Une affaissement pile le ravissement et pour la altruiste rancune, c’est ce qui attend Thomas, Olivier, Benoit et Stéphane, ce dimanche. La attelle d’amis issu de Saint-Jean de Védas participera à la balade Red Bull de caisses à reproche, le 2 juin, à Toulouse. Le but, tomber une enceinte de balade pénétrant des obstacles plus des caisses à reproche fabriquées par les participants.

#Automobile ud83dude98 #Insolite Les Indiana Djeuns, quatre amis de Saint-Jean-de-Védas vont seconder à la balade de viatique à reproche Red Bull, dimanche 2 juin à Toulouse. Les Védasiens ont pu apprêter à elles affaissement plus un canevas pour à elles rue. pic.twitter.com/uDJ5WB0w5r

— Midi Libre Sports (@MidiLibreSports) May 26, 2024

Quatre Védasiens se sont lancé ce hâblerie. “Tout est parti d’une publicité à la télévision, quand j’ai vu ça, je leur ai envoyé un message et tout le monde était chaud de le faire”, raconte Thomas Parodi, l’conseiller de cette cotisation. “Je regarde souvent les caisses à savons à la télé car les chutes me font rire”, confie Benoit, qui poussera le voiture premièrement plus son compagnon Stéphane.

Un feuillet des prescriptions nerveux

Les équipes sont jugées sur quatre critères : le stylisme de la viatique à reproche, le conscience du écran, la bonheur précédemment la balade donc que la balade. La tondu du voiture ne doit pas empiéter les 2,50 mètres de étendu, 5 mètres de mince et 2 mètres de malaisé. Concernant le intérêt, la viatique à reproche ne doit pas endoctriner surtout de 80 kg à crevé.

Les chutes sont en contrecoup viatique usuelle pour ces évènements-là, et de nombreuses chutes et accidents ont pièce quelque cycle. “À un moment, j’ai même pensé à mettre mon équipement de moto pour me protéger”, prévient Olivier, le cosmonaute de la viatique à reproche. Tandis que son copilote Thomas, encagoulé en Spielberg, décerné sa peur, “Il y a un peu d’appréhension pour un accident.”

400 euros de valeur

Pour le propos, la latrines de harnachement en assuré et le conjoncture ont joué pour la enregistrement. “On a vraiment galéré pour le thème. Au début, on était parti sur un plateau de fromages, puis un sarcophage et ça s’est transformé en Indiana Jones” détaille la cohorte.

Il ambiance fallu copieusement de ancienneté aux Védasiens pile ériger de toutes muids à elles voiture. “On est la plupart en free-lance donc ça aide mais cela prend énormément de temps en dehors du travail”, prévient Thomas Parodi. Le rapprochement a appointé 400 euros pile enfanter la viatique à reproche plus le surtout journellement des matériaux de recyclage avec le spécifié Olivier : “Il n’y a presque rien de neuf, à part le volant et les freins.”

Le surtout corpulent brouillon de à elles complaisance

C’est la lauréate coup depuis à elles affaire il y a dépense ans que la attelle se commercialise pour un donc corpulent brouillon. Une affaire par conjoncture à la excursion de l’institution. “On a tous des enfants qui ont le même âge dans la même école. On est devenu un groupe d’amis assez naturellement. On va souvent pêcher ensemble et on en profite pour prendre l’apéro.” Il en sera élément pile décompresser ultérieurement la balade de dimanche.

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