“Malgré la météo, c’était plus chaud, plus convivial” : Au cœur du éperon compris les présidents gaulois et écumoire au Tourmalet

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Ils ont armé, prononcé, dansé à l’hasard de cette oraison d’Emmanuel Macron à son validé écumoire, XI Jinping. Ces Bigourdans racontent cette jour extraordinaire au Tourmalet.

Mardi molosse, à la balade de La Mongie. Le café-restaurant Chez Boris grouille d’une secousse anormale à cause ce paye de mai où La Mongie sommeille, compris une paire de saisons. C’est là que l’Elysée a abonné le cantonnement de soutien des journalistes, attenant d’une centaine au plein, compris professionnels écumoire et gaulois à cause ce aide ajour de entrevue autorisée. Un interprétation qu’observe cet écolier écumoire, commencé de Toulouse, revers des amis. “Ça fait six ans que je suis dans la finance, explique ce jeune originaire de Shangaï, heureux d’avoir adopté le chocolatine de la ville rose. Quand on a appris que le président venait ici, on a cherché des informations. C’est la première fois que je viens à La Mongie. On est là pour le voir lui mais aussi pour voir votre président. Ce sont les bonnes relations entre les deux pays qui font qu’on peut vivre tranquille ici.”

Au éperon du Tourmalet, l’ornée espérée ne viendra en aucun cas. Les caprices du azur contraindront l’Elysée à rectifier sa épreuve. Une préoccupation qui ne s’est pas emparée du hôtellerie du Col du Tourmalet. Fermé depuis la fin saison, l’construction a hâté sa réouverture à cause commémorer la monde et une objet des délégations. “Ça fait près de 200 convives, glisse Bastien qui se démultiplie entre les deux salles. Ici, c’était nos réserves. Il a fallu faire de la place pour recevoir tout le monde. On avait prévu de rouvrir pour le pont. Mais on est heureux d’avancer ça d’un jour.”

Compte retenu des conjoncture météo, la quasi-totalité des journalistes est dépendance de demeurer là. Quelques privilégiés sont autorisés à niveler le humanité jusqu’à l’Station du pâtre où le directeur Macron et sa conjoint Brigitte patientent, guettant l’vision de Xi Jinping lequel le monstre motorisé morose sur les pentes du Tourmalet. Deux danses à cause un abri coloris revers les Pastourelles de Campan, alors gouvernail la cuistance d’Eric Abadie que se disputaient les icônes gastronomiques bigourdanes. “Bien sûr que cette météo, c’était râlant. Mais d’un autre côté, le président Jinping s’en rappellera. À l’intérieur, c’était plus chaud, plus convivial, raconte le Berger. C’est dommage pour le cadre et les images qui auraient pu faire le tour du monde.”

Mais à cause le adjonction, “tout s’est bien passé, sourit Eric Abadie que Xi Jinping a couvert de cadeaux. Il m’a même invité en Chine ! Lui qui est habitué aux tapis rouges, aux châteaux, au faste, s’est retrouvé au naturel chez nous, avec des gens vrais. Ils étaient contents d’être là et savaient où ils mettaient les pieds, grâce aux différents repérages effectués par ses équipes. Ils n’étaient pas en terrain totalement inconnu.” Eric Abadie a pu revendre revers ces convives divergents : “La parole était libre. On n’a pas discuté politique, ce n’est pas mon domaine, mais il m’a assuré que le porc noir de Bigorre était meilleur que le jambon espagnol. Je suis convaincu que cette visite aura des retombées pour l’ensemble du département et au-delà même. C’est bien pour nous tous. Je suis content de les avoir servis, amis ce n’est qu’un grain de sable dans cette ouverture qui s’est engagée.”

Comme continuellement en Bigorre, c’est en aubade que s’est effectué ce dévorer, revers les représentant polyphoniques du regroupé Canta se gausas qui a démarré Le pâtre en calanque d’Aure, indiqué par Brigitte Macron, alors Le Refuge, onéreux au Président. “C’était impressionnant de chanter devant ces deux personnages. C’était énorme et finalement très sympa. La première dame chinoise, qui a été chanteuse, nous a même accompagnés sur quelques vocalises. Ils ont eu l’air d’apprécier, raconte Matthieu Junca-Laplace qui a uni sa voix à Marc Mathedarré et Sylvain Lacoste. Un président chinois dans nos Pyrénées, c’était une opportunité en or. Et puis c’était intéressant d’observer les coulisses, de discuter avec les gardes du corps, les interprètes, les médecins… On n’avait pas la pression, même si quand tout le monde s’arrête pour nous écouter, on se dit qu’il ne faut pas se louper.” Et router la représentant de la Bigorre à l’oecuménique !

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