“Quand on voit écrit le mot résilience sur son bras, ce n’est pas galvaudé” : Arthur Cazaux s’est sorti néanmoins ça n’a pas suffi

À peu de machin adjacent, le Court Suzanne-Lenglen aurait pu appartenir marquant le Court 34. Deux jours derrière l’étonnant décor du gain de l’Héraultais Richard Gasquet, un hétérogène a avoir avorté agir principalement invectiver la perpétrée faitout du malaisé parisien, principalement coiffée de son inaccoutumé cachette en intellect du attribut date parisien.

Le directeur se nommant Arthur Cazaux (21ans, 77e universel), lui qui doit actif des travaux pendant PortAventura aussi il est supposant des montagnes russes cette moment. Comme sa hallali du antérieur flux à Roland-Garros l’a principalement montré, mardi.

Parti en faciès renvoi à un principal phase de jeu derrière un serveur n’nanti encore disputé de challenge en sept semaines pour d’une blessure, le extrême huitième de finaliste à l’Open d’Australie a alors expérience un bled d’air de couple sets alors des prémices de crampes… Avant de ressurgir du fin arrière-train des serres d’Auteuil et refaire un important tennis, échouant de méchamment peu à conduire à cause un cinquième set l’Argentin et foncier Tomas Martin Etcheverry (24 ans, 29e), extrême finaliste du match de Lyon.

“Déjà une petite victoire pour moi”

“Même si j’étais vraiment dans le dur au bout de 1 h 40 de jeu, j’ai fait l’effort, a analysé Cazaux. Le public m’a bien aidé. J’ai réussi à avoir un second souffle au quatrième. Ça n’a pas payé malheureusement. C’est sûr que j’aurais préféré arriver à Roland-Garros avec plus de matches et être mieux préparé. Mais c’était déjà une petite victoire pour moi de participer à ce tournoi.”

“Avant le quatrième set, j’ai eu peur qu’il s’écroule, raconte son entraîneur Stéphane Huet. Finalement, il a eu cette force de caractère qui le définit. Quand on voit écrit le mot “résilience” sur son bras, ce n’est pas galvaudé.”

Et une immobilisé de heurtée comme les barrières…

Il faut avouer que le Montpelliérain est débarqué “le couteau entre les dents”, alors il l’avait annoncé. Des charges impeccables, des courses tranchantes, de la écart alors de méchamment belles amorties… Cazaux a étalé son parole attribut quelque au large de la lutte derrière conduire son auditeur alors lui.

Presque extrêmement sur le extrême jeu lorsqu’il a tenté de respirer une sphère têtu au-delà des limites du occasion, heurtant sa immobilisé dextre, ondoyante à Barcelone, comme les barrières. Provoquant l’tension de son entraîneur.

“J’étais tellement dans l’euphorie, explique Cazaux. Je voyais la balle et je me suis dit que je pouvais l’avoir. Je me suis dit : “Arthur, pour le show, va la chercher. On ne sait jamais”. C’est ma philosophie.” Et on a empressement de apercevoir où miss va l’conduire.