VIDEO. JO Paris 2024 : devant l’accession de la sentiment pendant lequel la généralité, submersion pendant lequel la recueil olympique des Nicollin

Accumulée par “Loulou”, perpétuée par ses gars Laurent et Olivier, la recueil des Nicollin fable la section adorable aux torches olympiques, environ toutes réunies au Mas Saint-Gabriel.

La aérienne piste serpente non lointain de Marsillargues, au bien biotope de la Petite Camargue. Dans les champs, les taureaux et les chevaux ne font pas régularité aux visiteurs qui poursuivent à eux voie. Jusqu’à cette bâtiment anonymement, au morceau de l’un des parkings du Mas Saint-Gabriel. L’déguisement ne fable pas le chaufferette, pas alors que les murs ne font la vide d’Ali Baba. Christian Pelatan, jointure qui grince uniquement mirettes qui brillent chez au antécédent fois, détient la clé de ce fortune incalculable : la recueil de la parentèle Nicollin, l’une des alors grandes au monde, laquelle on connaît peu le affection alors les Jeux Olympiques.

“J’en découvre encore”, distendu Laurent Nicollin, gars de “Loulou” et gouverner propre d’un fois. Après les maillots de Pelé, Zidane ou de la Paillade, les chaussures à crampons de Di Stefano ou mieux les tuniques des All Blacks et les kimonos de Douillet ou Riner, les JO sautent au maintien. Au morceau du plaisir de tinettes amassées par le inventeur du Montpellier HSC, une renfoncement à eux est dédiée. Pour un pièce presque exclusive : 29 torches olympiques, laquelle 20 des Jeux d’été, sont suspendues au rotonde, reines trônant au biotope d’une amas de médailles, de diplômes et d’inscriptions des Jeux.

“Quand les gens visitent, on ne leur dit pas qu’il y a les torches. Et lorsqu’ils les découvrent, c’est vraiment un émerveillement”, s’émerveillement Christian Pelatan, “conservateur” de ce école d’un étranger calibre et “véritable mémoire”, suivant Laurent Nicollin.

“Comme les maillots, il fallait que les torches aient été portées”

L’type, en empilé du maintenance et de l’dispositif de la recueil, est incollable. Les anecdotes défilent. Il montre-bracelet la toute vainqueur lampe olympique, icelle de 1936 et de Jeux de Berlin disputés au origine de l’Allemagne Nazie : “C’est une idée d’un ministre de Hitler, Carl Diem, déroule Christian Pelatan en montrant l’objet, tout de métal nu, barré d’un aigle. Au départ, cela n’a donc rien d’olympique”.

La fameuse torche des JO de 1936, à Berlin, la toute première.
La célèbre lampe des JO de 1936, à Berlin, la toute vainqueur.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

Vient le rythme de Londres 2012, catégorie de cône flavescent rehaussé de milliers de trous : “8 000 exactement, pour 8 000 porteurs cette année-là. Toutes les flammes ont leur particularité.”

Laurent Nicollin : “On aimerait que les gens puissent y avoir accès”

La recueil de la parentèle Nicollin est environ exclusive en son calibre sur la soleil. Mais miss ne se dévoile qu’à de particuliers privilégiés, invités au Mas Saint-Gabriel. Un explication contre Laurent Nicollin : “Ici, même si on l’appelle musée Louis Nicolin, ça n’en est pas un. C’est plus un lieu de stockage, un dépôt”. “On aimerait que les gens bénéficient de ça en France, puissent y avoir accès”, bouture le gouvernant du MHSC, laquelle le germe d’un école du match est adossé à celui-là d’un période Louis-Nicollin laquelle la fécondation est rien cesse poussée. “On verra si le musée se fera un jour, pour rendre aux gens. Ça aurait un sens aujourd’hui, par exemple, que la visite se fasse autour du thème des JO. Mais c’est ici et c’est dommage”, distendu Laurent Nicollin. Qui, en attendant, perpétue l’alleu et absolue la recueil.

Celles des Nicollin en possèdent une étranger, indispensable aux mirettes du regretté patron des places, défunt en 2017 : “Elles ont toutes fait le parcours, explique fièrement M. Pelatan. Contrairement au musée olympique de Lausanne, où il y a toutes les torches, celles-ci ont brûlé et sont donc considérées comme “olympiques”.” “C’est comme pour les maillots, il fallait qu’ils aient été portés et que le sportif ait transpiré sinon ce n’était pas un vrai”, renchérit Laurent Nicollin.

Le novice des gars de “Loulou” perpétue l’alleu papa alors son franc-maçon Olivier. Dans les prochaines semaines, les torches de Tokyo 2021 uniquement de même de Soie et Pyeongchang (hibernation) vont naître s’agrandir à une film laquelle l’une des premières tinettes avait été offerte par Albert Rust, ex-gardien du MHSC crack olympique à Los Angeles en 1984. “Puis on en a proposé d’autres au président, les prix n’étaient pas très élevés. Mais comme la famille se positionnait, d’autres s’y sont intéressés”, raconte M. Pelatan.

En attendant icelle de Paris 2024

“Le président a participé à la création de beaucoup de ventes sportives parce que cela n’existait pas vraiment, malgré quelques-unes à Drouot. Maintenant, cela se passe à Stockholm, en Allemagne mais aussi en France ou à Los Angeles, poursuit-il. Un marché s’est créé depuis une quinzaine d’années.” Avec ses pépites, laquelle la lampe de Grenoble 1968, presque rare, quand tirée à exclusivement 32 exemplaires, et exposée à des coût exorbitants.

Les torches des JO d'été de la collection Nicollin.
Les torches des JO d’été de la recueil Nicollin.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

La parentèle Nicollin n’a pas grassouillet le pas uniquement la mémoire des emplettes est fourni, notée sur un morceau de article arraché par Christian Pelatan : “Oslo, Cortina, Squaw Valley, Grenoble, Innsbruck, Sapporo, Lake Placid et Calgary”. La lampe de Paris 2024 est attendue alors empressement. Il ne loupage pratiquement qu’miss au bien biotope de la Petite Camargue.

Médailles, pin’s… : “Il fallait tout à “Loulou””

Les torches olympiques ne sont pas les seules à butter “l’espace JO” de la recueil Nicollin. “Il y a le maillot de Jean Bouin (des JO 1912 à Stockholm), c’est quand même fabuleux. J’en découvre encore, des affiches, les diplômes, celui de Paris 1924… Ça a cent ans, une valeur historique”, s’émerveille Laurent Nicollin. Dans le propagation de ces murs tapissés de reliques, devant les pointes d’Usain Bolt portées à Rio en 2016, des armoires en glass détiennent “toutes les médailles, olympiades par olympiades sauf celle de 1904 (JO de Saint-Louis, USA)”, sourit Christian Pelatan. Nombre de ces breloques ont été récupérées “parce que les athlètes des pays de l’Est les ont vendues pour vivre”, explique le “conservateur”. Plus anomal, la bâtiment abrite une monde de produits dérivés olympiques. Pin’s, mascottes… Tout y doyen, superposé par “Loulou” Nicollin, bientôt miséricorde aux envoyés spéciaux de Midi Libre. “Il lui fallait tout des JO parce qu’il était passionné de tout”, rappelle son gars. Au situation de couronner un étranger masure au bicyclette, l’une de ses innombrables passions.

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