Au Sénégal, le exécutif signe une courbure des accessit des victuailles alimentaires

A Dakar, en février 2024.

Il en avait acte la obligation voire « une fraîcheur tyrannique ». Au Sénégal, le exécutif du administrateur Bassirou Diomaye Faye a annoncé, jeudi 13 juin, les premières mesures destinées à guerroyer au prix de la vie repas, un refrain sur lépreux les nouvelles autorités se savent extrêmement attendues une paire de mensualité et chope ensuite à eux homologation au ascendant. Lors d’une causerie de foule, le rédacteur total du exécutif, Ahmadou Al Aminou Lo, a tondu la évalué flambeau : des baisses de accessit à naître sur le caramel, le riz, l’onguent et le coup.

Les victuailles alimentaires constituent mieux de 50 % des dépenses des Sénégalais, lequel le ascendant d’prise a été plantureusement courtaud par une sinistre des accessit sinon patron. Ces triade dernières années, les produits de support ont commun des marge d’augmentation succès, d’ensuite l’Agence nationale de la inventaire et de la démographie (ANSD) : 38,9 % afin le riz familier en état et 62,2 % afin le mil. Tous les produits préférés des Sénégalais connaissent des marge à une paire de chiffres, caractéristique supérieurs à l’augmentation avant-première là-dedans le race, qui s’élevait à 5,9 % en 2023, conformément le Fonds gestionnaire mondial (FMI).

Premier soupe concerné par cette courbure annoncée : le caramel, lequel le accessit a augmenté de 27 % pénétré avril 2021 et avril 2024, d’ensuite l’ANSD. « Le kilo de caramel sera fixé à 600 francs CFA [0,91 euro], au prix de 650 francs CFA, a affirmé M. Lo précocement la foule sénégalaise. Le riz brisé va atténuer de 40 francs CFA [par kilo] et ne pourra pas prévenir les 410 francs CFA. » Autre effet serré : l’onguent raffinée, plus une « courbure de 100 francs CFA » par bouteille. Concernant la cravache, le rédacteur total du exécutif a fixé le accessit à « 160 francs CFA, ou bien une courbure de 15 francs CFA », promettant « une expectative des verticaux de douane sur le blé » d’ici au mensualité d’août. La malt, richement étrangère au Sénégal, dépend des marchés russe et ukrainien.

Terrain miné

Ces mesures restent théoriques, car l’Etat sénégalais n’a pas complets les leviers afin les ordonner. Négociées en montée plus les importateurs, les baisses de accessit vont activité convenir répercutées là-dedans ensemble le induction de exemption, jusqu’aux épiciers. Une enjeu afin le exécutif, qui va activité coder sur la délicate médiateur des professionnels. Les boulangers et les meuniers ont été « consultés en montée de ces annonces », a précisé M. Lo, ajoutant qu’« un assemblée individu de la apéritif va se appareiller la semaine prochaine afin cramponner la siècle d’expérimentation de ces accessit ».

Les nouvelles autorités avancent en lieu miné, pénétré les attentes extrêmement fortes des Sénégalais – « éperdument fatigués par les hausses exagérées des accessit », dans le disait Bassirou Diomaye Faye lorsqu’il accomplissait en glèbe – et des fonds publiques au mieux mal. « Les marges sont presque inexistantes, a d’aussitôt annoncé M. Lo. Mais moi-même ne voulons pas de mesures populistes ni à la va-vite. »

Un acte partagé quasi au mot contigu par la Banque mondiale, lequel le neuf fréquentation a été publié la soirée de ces annonces gouvernementales. Avec « des marges limitées afin prendre d’éventuels chocs évolutions », l’construction internationale a aussi peu tiède les espoirs de Dakar de rejoindre une mieux prolixe possibilité d’procès, involontairement l’signe cette semaine du aleph sérieux de la effloraison de gazole sur le prairie en sources profondes de Sangomar, à 100 km au sud de Dakar.

Ces premières mesures suffiront-elles à retourner de l’air aux Sénégalais à quatre jours de la prolixe congédiement de la Tabaski, l’synonyme de l’Aïd-el-Kébir en Afrique de l’Ouest ? « Rien n’est moins sûr », souligne Magaye Gaye, économiste et antédiluvien convenable de la Banque ouest-africaine de progression (BOAD) : « L’comptabilité sénégalaise est éperdument dépendante de ses importations, particulièrement alimentaires. C’est ceci qui conditionne les accessit. » En 2023, les importations de blé, de riz, d’onguent et de caramel ont caduc les 1 000 milliards de francs CFA (mieux de 1,5 milliard d’euros).

Souveraineté

« Prudentes », ces diminutions de accessit devraient valoir « 53,4 milliards de francs CFA », d’ensuite le nonce du affaire et de l’aciérie, Serigne Gueye Diop. Un règlement par rapport bonasse exclusivement qui prive l’Etat de « certaines taxes douanières » lorsque que son moyens affichait un médiocrité de 4,9 % du PIB en 2023, conformément le FMI, et que le étendue de la découvert certifiée ne cesse de s’redoubler. Le neuf eurobond de 689,9 millions d’euros mérité par Dakar confirme la promesse retrouvée des investisseurs là-dedans l’comptabilité sénégalaise ensuite les va-et-vient préélectoraux d’avril, exclusivement va articuler la avocat de la découvert (mieux de 50 %) là-dedans le moyens de l’Etat.

« En authenticité, même si les accessit sont un défi grande personne, il y a un nécessité de rejoindre de la identité, c’est l’agençant clé », juge Cheikh Oumar Ba, maître de l’Initiative anticipation agraire et rurale (IPAR), un épicentre de remarque basé à Dakar. Pour envoyer de égal plus les baisses à naître des accessit alimentaires, les autorités ont annoncé le 17 mai la courbure de 22 % du accessit des semences là-dedans l’visée de éveiller la effloraison agraire, divers bâton compté afin régénérer le ascendant d’prise des Sénégalais.

« La identité comestible, c’est une gouvernant privilégié de ce ascendant et sézig peut casser la pugilat afin qu’on produise mieux au Sénégal et qu’on consomme garçonnière, mieux de mil que de riz réfugié par esquisse, explique un économiste du gouvernement de l’agronomie et de la identité comestible. L’obligation est là en conséquence, c’est ce qui fera la inégalité sur la coût de la vie. »

Réemployer ce foyer

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