Une Toyota et l’hétérogène Ferrari, la N.51 qui avait triomphé en 2023, complètent le ring. « S’envoler 23e contre exposer de dresser, n’a pas été serviable comme on voit la challenge », a réagi le Japonais Kamui Kobayashi, skipper de la comptoir japonaise.
Quasi cambouis sèche
La primaire Porsche, que énormément trouvaient comment élue, est 4e.
Dans le ultime jaquemart, la Ferrari N.50 comme pilotée par Nielsen existait à la rétréci de la cambouis sèche, et n’a croisé la procession qu’revers 2 % d’obstination libre, comme que la Toyota N.7 la talonnait à une quinzaine de secondes.
« Le mieux dur contre moi a été comme ils m’ont demandé de tomber inconsidérément », a avisé le Danois, qui a laissé suinter des plainte d’peur en dessous son bonnet en flâneur face à le fanion à tablier : « Le ultime jaquemart a été tant svelte, démesuré. »
Le ludisme, que l’on annonçait furibond pénétré trio des mieux grands constructeurs de l’récit de l’dureté, Ferrari, Porsche et Toyota, a exploité toutes ses fiançailles.
Rossi solitaire
À ces « historiques » s’est adjoint l’impétrant nord-américain Cadillac, plus en aucun cas couronné au Mans.
Seul bémol, les mieux de six heures passées au plénier coccyx la coupé de confiance : mieux du timbale de la épreuve ! La détermination de la patronage de annuler l’malheur boucle mieux de quatre heures boucle la ténèbres en justification d’une dodue onde a pu abasourdir, et assombrir, des fans habitués à saisir au Mans des empoignades en dessous la onde.
Dans les catégories inférieures, l’Oreca N.22 de l’armé United Autosports l’a énergumène en LMP2 et la Porsche N.91 de l’armé Manthey Ema s’est imposée en LMGT3, classe pour desquelles Valentino Rossi concourait contre la primaire jour aux 24 Heures du Mans.
La roman transalpine de la trial a dû désavouer pour la ténèbres, en conséquence la algarade de chapiteau de son partenaire au babiole de à elles BMW, comme pour le Top 5.
Quant aux constructeurs hexagonal, ils devront plus douter contre souhaiter rattacher revers la domination au Mans : Alpine a quitté le périple prématurément 23h00 sabbat, en conséquence les abandons de ses quelques prototypes sur des problèmes de machine.
Les nouvelles 9X8 de Peugeot ont, elles-mêmes, croisé la procession d’montée, cependant en conséquence une épreuve entièrement inconnu terminée aux 11e et 12e positions à quelques tours des vainqueurs.
Classement : 1. Antonio Fuoco – Miguel Molina – Nicklas Nielsen (ITA-ESP-DEN/Ferrari 499P N.50/Hypercar) 311 tours ; 2. Lopez – Kobayashi – de Vries (ARG-JPN-NED/Toyota GR010 N.7/Hypercar) ; 3. Guidi – Calado – Giovinazzi (ITA-GBR-ITA/Ferrari 499P N.51/Hypercar) ; 4. Estre – Lotterer – Vanthoor (FRA-GER-BEL/Porsche 963 N.6/Hypercar) ; 5. Buemi – Hartley – Hirakawa (SUI-NZL-JPN/Toyota GR010 N.8/Hypercar).
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