Ben, l’figurant à l’alphabet enfantine, est percé à l’âge de 88 ans

L’artiste Ben, Benjamin Vautier de son avéré nom, “a été découvert sans vie à son domicile”, a montré mercredi le moulure de Nice, remplaçant qui “les premiers éléments font état d’une plaie par arme à feu”. L’homme de 88 ans incarnait habituel comme ses “écritures”, messages impertinents et trompeusement naïfs écrits sur les objets les comme usuels, des trousses aux sacs à dos.

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Artiste apprécié ou roi des produits dérivés ? Ben, habituel comme ses slogans rédigés en savoir manuscrites blanches sur culot obscurité, est percé à l’âge de 88 ans à Nice, a-t-on appliqué mercredi 5 juin malgré de Robert Roux, ami avoisinant et supplémentaire au échevin de Nice facteur à la civilisation, confirmant une questionnaire de BFM TV.

L’artiste, Benjamin Vautier de son avéré nom, “a été découvert sans vie à son domicile”, a précisé le moulure de Nice, remplaçant qui “les premiers éléments font état d’une plaie par arme à feu”. Une culture “en recherche des causes de la mort est ouverte”, germe le moulure. Un capitoul du moulure se rend sur les places.

Un magasin-musée au Centre Pompidou

Né à Naples en 1935, l’figurant franco-suisse, auteur de l’Institution de Nice envers Arman, Yves Klein et Martial Raysse, voyait depuis l’âge de 14 ans à Nice, où il est percé.

Au appâte des années 1960, sa matrone lui achète une boutique qu’il transforme en hangar de disques d’données. Elle devait futur un coïncidence d’artistes, fréquenté par mikado, Arman et d’changées. Ce magasin-musée sera transféré au Centre Pompidou en 1972.

Ben se revendiquera de Fluxus, circulation novateur né en 1962 et illuminé du “ready-made” de Marcel Duchamp, qui s’est suppléant à désacraliser l’art.

Cet retard petit-fils du paysagiste gardien Marc Louis Benjamin Vautier est habituel du chevalier allocutaire par ses “écritures”, des maximes écrites envers une transcription enfantine et déclinées sur varié tasseaux.

“À quoi sert l’art ?”

Ben défend la assistance de l’art là-dedans la vie usuelle, sur les objets les comme banals, envers à tout jour une pincée d’imagination. Insolent, sympathique et affectueux, il multiplie les performances : “gestes”, installations, signatures, comme contrarier, apostropher, attaquer, plier(se) évoquer pour. Et appose sa visa sur les pancartes des changées et jusque sur la pelleterie de sa héroïne, Eva.

Ses formules sont tracées d’une alphabet arrondie, continuellement à la souillé lactescente sur culot obscurité, et semblent au chef accueil sorties de la culminant d’un adepte disciple. Mais elles-mêmes bousculent les certitudes installées de l’art neuf : “À quoi sert l’art ?”, “Le nouveau est-il toujours nouveau ?”, “Que faites-vous ici ?” ou “Mon plus grand soucis, c’est moi” (envers une vulgarisme d’orthographe)…

L’électron libéré fera “art de tout”, collectant par abrégé des cageots de légumes comme colorier sur ce point des phrases entendues sur les marchés.

“Mon art sera un art d’appropriation. Je cherche à signer tout ce qui ne l’a pas été. Je crois que l’art est dans l’intention et qu’il suffit de signer”, s’amuse-t-il, détrônant l’œuvre de son laraire.

Selon lui, les artistes vivaient préoccupés par à eux ego, et c’est une moeurs accoutumée de s’dire, d’frapper sa enregistré, d’personnalité au monde. “Mon territoire est actuel pour toutes les écoles d’art : c’est l’étude de l’ego. Est-ce qu’on peut faire autre chose que de l’ego (dans l’art) ?”

Sa génération avait entrepris là-dedans les années 1950 “où se posait la question ‘Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ?’ Et il déclare œuvre d’art des choses qui n’en étaient pas”, expliquait Andres Pardey, commandant facteur du pinacothèque Tinguely de Bâle, en Suisse.

“Si j’étais critique d’art, j’esquinterais Ben”

Cet art de l’présentation là-dedans la rue, de l’malice agitatrice, a évènement des émules.

Pour Andres Pardey, “Ben est son propre iconoclaste. Il détruit son œuvre par son œuvre”, contestataire donc que l’art peut concerner volage. “Si j’étais critique d’art, j’esquinterais Ben”, disait l’figurant.

En sortant du “cadre protégé des musées”, en répugnant de deviner l’art dans le clémentine d’une apprentissage et d’un goût, Ben a fâché multitude d’artistes qui le considéraient dans un habile, usurpant le convention d’figurant.

Celui qui s’assoit sur une divan en chargée rue, un plaque au cou envers la réflexion “Regardez-moi, cela suffit” ou appose sur la cavalcade des Anglais sa visa sur la pelleterie de passants (envers à eux aval), voit ses “gestes” dans pareillement d’œuvres d’art.

Il se vantait de “créer un film qui va s’appeler ‘Il ne se passe rien’.” “C’est du non-art, de l’anti-art.”

Ben se défendait de ne pas possession de causerie. “Je ne suis pas une machine à fric, mais une machine à communiquer”, disait-il, assurant concerner infiniment là-dedans une “recherche philosophique” sur les “limites de l’art”.

Avec AFP

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