[BILLET] Chapeaux ronds et bitos bas !

Nous n’marcherons en conséquence pas à la Rabine la époque prochaine, et l’on ne sait pas si l’on doit s’en ravir comme les rugbymen bretons ou s’en attendre, aussi les déplacements là-dedans la district du Morbihan voyaient devenus un des « musts » de nos road-trips à flanc la France d’Ovalie depuis l’hibernation 2015, et une primitive insuccès de Soyaux-Angoulême, avec en Fédérale 1, là-dedans le Morbihan.

Le son des bombardes et des binious peut museler l’antagoniste plus antan la primitive masse accession de Babaorum ou Petibonum.

Elle en annonçait profusément d’différentes, jusqu’à la dernière en période en janvier inédit. Car Vannes est une vierge aigre, simplement elle-même peut moyennant personnalité ô à quel point charitable. Élégante, revers son bordure, étonnant chaudron, en cœur de nation, son station à aboutissement de drop, et le conformité écrasant du abbatiale des Ursulines.

Vannes, un festin comme les mirettes et comme l’olfaction les soirs de partie, sinon les travées du bordure sont envahies du fumet des incontournables tartes saucisses et des si typiques « kebabs bretons » qui subliment aux chérubins oignons la pulpe du porc, étrange division gratte-ciel. Car totalité est bon là-dedans le Breton.

Un festin comme les mirettes, le nez, simplement moyennant les oreilles. Pour peu que l’on adoré et supporte le son des bombardes et des binious qui peuvent museler l’antagoniste plus antan la primitive masse accession de Babaorum ou Petibonum. Jusqu’au « Bro gozh ma zadoù », repris en chœur auparavant quelque accord par les 11.000 manifeste de la Rabine sur l’air sacré du « Land of my fathers » kymrique.

Car les Bretons ne manquent pas de Celtes. Alors chapeaux ronds, et spécialement bitos bas.

Comments are closed.