Dissolution de l’Assemblée : Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, Éric Ciotti… découvrez les réactions des politiques ensuite l’au courant d’Emmanuel Macron

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Après la fermeté du chef de la Patrie de annihiler l’Assemblée nationale, la cours gouvernant réagit.

Emmanuel Macron a entrepris la fermeté bouffie de annihiler l’Assemblée nationale ce dimanche 9 juin ensuite les résultats des élections européennes verso la bordereau du Rassemblement National en mine des votes. À butor même à main et au ardeur, la cours gouvernant réagit.

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Les Républicains

La fermeté du chef Emmanuel Macron de annihiler l’Assemblée nationale trouvait “la seule solution” ensuite les résultats des élections européennes dimanche, a affirmé le responsable du évanoui Les Républicains, Eric Ciotti. M. Ciotti a précisé que LR, rejoint dimanche en cinquième jugement verso entour 7 % des représentant, conviendrait personnel en deçà ses “couleurs” aux législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet, “sans aucune forme de coalition, de coopération, de collaboration avec ce pouvoir qui a tant abîmé la France”. Ce qu’a exact ensuite lui, sur LCI, la mine de bordereau LR alors de ces élections européennes, François-Xavier Bellamy. L’ex candidate du évanoui à la présidentielle Valérie Pécresse a relativement sonorité trahi sur X (ex-Twitter) une fermeté emplette “sans donner à personne le temps de s’organiser”. “C’est jouer à la roulette russe avec le destin du pays”, a-t-elle critiqué.

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Les Écologistes

La mine de bordereau des Écologistes aux européennes Marie Toussaint a annoncé dimanche des “discussions très certainement dans les heures qui viennent” dans les partis de butor, contre entamer les élections législatives convoquées par Emmanuel Macron. “On a une coalition des gauches et des écologistes qui existe aujourd’hui et qui, je le crois, si elle sait se reprendre, est en capacité de mener cette bataille” des législatives, a subsidiaire Mme Toussaint.

Le Modem

François Bayrou, le chef du Modem, a salué dimanche une “prise de risque” d’Emmanuel Macron qui a entrepris la “décision courageuse” de annihiler l’Assemblée nationale contre “sortir le pays du marasme”, ensuite la gain du RN aux européennes. “Le président de la République prend ses responsabilités. Ça n’arrive pas souvent dans l’histoire de notre pays. Il prend ses responsabilités et il dit aux Français : je vous donne le choix pour l’avenir”, a estimé le organisateur de l’un des partis de la affranchissement.

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La France rebelle

La France rebelle (LFI) “ne craint pas le peuple”, a brandi dimanche le fabricant du changer Jean-Luc Mélenchon, ensuite la fermeté du chef Emmanuel Macron de annihiler l’Assemblée nationale ensuite la spacieux gain du RN aux élections européennes. “Puisqu’il y a une élection, (c’est l’occasion) de réaffirmer très haut et très fort, que quand on est insoumis et insoumises, on ne craint pas le peuple. C’est le contraire”, a clair M. Mélenchon, qui s’exprimait entrée des militants alors de la sauterie électorale de LFI à Paris. Emmanuel Macron “a eu raison de dissoudre l’Assemblée”, a subsidiaire le triple aspirant à la présidentielle. “Il n’a plus aucune légitimité pour continuer la politique qui est la sienne. Il n’a plus aucune légitimée pour continuer le système de maltraitance sociale généralisée auquel il se livre”, a-t-il clair. François Ruffin, envoyé LFI de la Somme, sur BFMTV, trajet les forces de butor à “se ranger derrière une barrière commune” qui porterait même nom le “Front populaire”. “On est capable d’un sursaut, nous pouvons l’emporter”, assure-t-il. Manon Aubry, mine de bordereau La France Insoumise contre les élections européennes, a sézig clair que “le président de la République a pris note ce soir de sa défaite cinglante.”

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Renaissance

Le stalag Macron “donnera l’investiture” aux députés sortants, y entré d’contre-pied, “faisant partie du champ républicain” et souhaitant “s’investir dans un projet clair” tout autour de la affranchissement présidentielle, a clair dimanche à l’AFP le copiste ordinaire du évanoui Renaissance, Stéphane Séjourné.

Parti socialiste – Place ouverte

Le préliminaire copiste du PS Olivier Faure a invité dimanche la butor à lever à un “rassemblement utile” contre les élections législatives de juin consécutives à la décadence de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron. “Il y a un rapport de force ce soir qui a évolué” dans les partis de butor ensuite les européennes, a appuyé le envoyé socialiste, lesquels le aspirant Raphaël Glucksmann est rejoint en mine des états de butor. Il a sollicité “chacun à réfléchir aux meilleures conditions pour un rassemblement qui permette d’avoir un projet, qui permette d’être entendu par les Français”. Raphaël Glucksmann, la mine de bordereau Parti socialiste-Place ouverte, a trahi “un jeu dangereux d’Emmanuel Macron”.

Rassemblement National

Marine Le Pen “salut cette décision qui s’inscrit dans la logique des institutions de la Ve République. Nous sommes prêts à exercer le pouvoir si les Français nous font confiance lors de ces prochaines élections législatives. Nous sommes prêts à redresser le pays, prêts à mettre fin à cette immigration de masse et prêts à faire revivre la France”.

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