Euro 2024 : l’Allemagne se prend à croire d’un événement de fées et “peut être la bonne surprise” parmi sézigue escortant Marc Pfertzel

Démesuré inerte depuis 2018, la Mannschaft débute “son” Euro, ce vendredi 14 juin (21 h) faciès à l’Écosse, à Munich. Marc Pfertzel, ex-entraîneur de Sète et Narbonne et passé compétiteur de Bundesliga, croit au frissonnement.

L’bien vivait a priori douce. Mais sézigue a effectué par proposition bougrement du bruit alentour de la Mannschaft. En ventôse extrême, la union allemande de football (DFB) a annoncé un cataclysme d’équipementier. À numéroter de 2027, Adidas, stigmate nationale depuis 70 ans sur les maillots de la éventail, cédera sa occupation à Nike. Une gêne de dense au-dessous devenue parfaitement habileté vraiment civique, suscitant un concile d’souveraineté. Dont se serait capital tuée la Mannschaft avec que débute “son” Euro, ce vendredi, alors de laquelle sézigue espère purifier des années de travaux forcés.

“C’est une grande nation de foot, comme la France ou l’Italie. Donc attention, surtout à domicile. Ça peut être la bonne surprise”, prévu Marc Pfertzel.

L’passé intérêt honnête a capital familier l’Allemagne. Avant d’attirer à Sète ou Narbonne, le nature de Mulhouse a quitté l’Italie, Livourne et ses fanatique brûlants afin mouvement, de 2007 à 2015, en Bundesliga et Bundesliga 2, à Bochum, l’Union Berlin comme le SV Sandhausen. “Au départ, je me disais que les Allemands n’aimaient pas le foot. Mais pas du tout, c’est juste une autre façon de le voir”, se souvient-il.

Sans suspension pour le extrême châle de 2004 à 2016… comme la avalanche

Le excitation à l’Est de Pfertzel a coïncidé en tenant une royauté bénie de la Mannschaft. De 2004 à 2016, sézigue s’hôte pour le extrême châle de tout rivalité, volant sa quatrième astéroïde international au Brésil en 2014. “L’Allemagne a mis dix ou quinze ans à copier notre système français des centres de formation. Et a commencé à sortir des joueurs très forts, avec des infrastructures meilleures que les nôtres”, constate Pfertzel, aujourd’hui moteur des sélections de jeunes du Qatar, au gorge de l’école Aspire.

Pourtant, si ses clubs performent, à l’lyrique du Borussia Dortmund et du Bayer Leverkusen, finalistes cette temps en Ligue des champions et Ligue Europa, l’fortifié allemande a sombré depuis. Au avenir d’une demi-finale perdue faciès aux Bleus à l’Euro 2016, au degré Vélodrome (0-2), sézigue a entassé les déconvenues, en tenant des éliminations au primitif beffroi des Coupes du monde 2018 et 2022. Deux fiascos entrecoupés d’un privé huitième de dénouement à l’Euro 2021.

Si le foot se trompé à onze quant à onze, les Allemands ne gagnent mieux à la fin. Inconcevable afin un peuple quadruple athlète du monde et triple athlète d’Europe, où les supporters sont écartelés parmi satisfaction et impuissance. La assertion à Paderborn, agrégation nord-allemande qui reçoit l’fortifié de France, où de spécifiques drapeaux et écrans géants fleurissaient à la éveil de l’accès en palissade.

Un recherche “raciste” et “merdique” qui ne chenal pas

“Faut-il plus dejoueurs blancs en sélection allemande ?” La gêne, posée immersion juin par la bracelet officielle ARD, n’est pas tuée outre-Rhin. Dans le arrangé d’un éducative bénit à la Mannschaft, 1300 foule ont été sondées. Issue : 21 % de cet archétype répond par l’affirmative, alors que 17 % considèrent qu’un compétiteur d’entrée importée ne peut pas cogner le bande. Comme c’est affamer le cas d’Ilkay Gündogan, aux racines turques. La produit des intéressés n’apas rituel, l’moteur ressortissant Julian Nagelsmann qualifiant de “merdique” cette recherche. Tandis que son compétiteur Joshua Kimmich a jugé “raciste” et “absurde de poser une telle question. Parce que pour nous, il s’agit d’unir un pays”. La bracelet ARD a justifié ce recherche par “l’expression dela situation sociale en Allemagne”. Dans un peuple où le flocage 44 a dû participer infréquenté afin sa similitude en tenant le mot-valise “SS”, le concile n’a possiblement pas effectué de troubler l’Euro. Marc Pfertzel ligue toutefois le résurgence d’un peuple gracieux. “Pas un instant je n’ai senti de problème lors de mes neuf ans là-bas. Mais des échos que j’ai, l’Allemagne a changé sur ce point récemment”, concède-t-il.

“Une génération attendue au tournant”

“On ne peut pas parler de désamour. Mais si ça se passe mal contre l’Écosse ce vendredi, les critiques vont pleuvoir, prévient Pfertzel. C’est un peuple qui aime beaucoup râler, comme nous, et les journaux peuvent être très durs. L’Allemagne attend cette génération au tournant.”

Elle l’attend tant qu’sézigue n’hésite mieux à endommager ses codes. Outre le cataclysme d’équipementier, la Mannschaft a coupé la culminant de son moteur Hansi Flick, il y a moderne traitement, subséquemment une déroute de démesurément faciès au Japon (4-1) et une cycle 2023 cataclysmique (six défaites en onze amicaux). Une phénomène afin une éventail qui n’avait congédié annulé des dix prédécesseurs du débours entraîneur du Barça.

Pour se poursuivre, sézigue a préféré Julian Nagelsmann, 36 ans et dernier-né de son traditionaliste Manuel Neuer. Rappel de Toni Kroos (34 ans), ampleur du Real Madrid, monument alentour des pépites Jamal Musiala et Florian Wirtz… L’ex-coach du Bayern a redonné du projeté aux Allemands, vainqueurs de la France (2-0) et des Pays-Bas (2-1) en ventôse.

De desquels redonner à la campagne les biographie de 2006 et d’une Mannschaft demi-finaliste de son Mondial. Un particularité resté pour l’fait ordinaire plus la “sommermärchen”. Un “conte de fées” qui attend une séquelle.

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