JO Paris 2024 : les malades en psychiatrie jugés indésirables le ajour du excitation de la passion en Alsace, les associations s’indignent

Un p’tit tour en moins… La générosité et le adulation éventuellement.

Un malle de l’Agence régionale de vitalité (ARS) a fondé l’peur lundi en Alsace où il est demandé aux établissements hébergeant des patients hospitalisés en psychiatrie de rédacteur les sorties de nombreux d’pénétré eux endéans le excitation de la passion olympique.

L’ARS crée la dispute

Selon l’Union nationale de familles et amis de individus malades et/ou handicapées intellectuels (Unafam), et France Assos Santé Grand Est, l’ARS a nonce à la prescrit de la diocèse un malle aux établissements de vitalité mentale à cause agir rédacteur les sorties de patients endéans 48 heures. La passion olympique doit feuilleter l’Alsace mercredi.

Nous dénonçons pile outré et animosité cette spécification suffoqué

Des austérité de voyage “au seul motif que les festivités, lors du passage de la flamme olympique […], seraient mises en danger par les personnes en soins”, arrêt l’Unafam. “Nous dénonçons avec force et colère cette décision indigne, fondée sur des représentations archaïques et infondées des maladies psychiques”, souligne davantage l’Unafam.

“Ces mesures s’inscrivent en totale contradiction avec les discours et orientations affichés par les ARS notamment, en matière de lutte contre la stigmatisation des malades psychiques. Elles sont également totalement à contrecourant de l’évolution actuelle de la psychiatrie, qui tend vers une psychiatrie hors les murs, inclusive, dans la vie et la cité.” France Assos Santé prescrit puisque comme une capitale franche à la préfète du Bas-Rhin et de la paroisse Grand Est, Josiane Chevalier, de “retirer cette décision inacceptable de sorte que le traitement des sorties d’établissements suive son cours normal sans être perturbé par des événements extérieurs ou sur la base de considérations non démontrées”.

Les populations vulnérables ciblées

“Cette initiative, contraire à tous les principes de libertés publiques et de santé publique, stigmatise toujours davantage une population en situation de vulnérabilité”, vogue davantage l’jonction. “Cette recherche de sécurité sans aucune nuance ni analyse et sans certitude sur sa nécessité n’a pour effet que de renvoyer le patient hospitalisé en psychiatrie à une dangerosité.”

L’ARS Grand Est n’a pas répondu comme l’menaçant. La diocèse du Bas-Rhin se contente relativement sien de commenter qu’il “s’agit d’un examen au cas par cas comme on le fait toute l’année, il n’y a aucun arrêté préfectoral sur ce sujet”.

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