Le Front plébéien, uni sur un estrade bref et sur une installation étroit, a accueilli l’environnementaliste Viviane Thivent et le socialiste Nicolas Sainte-Cluque pour la 2e sandjak.
Les directions parisiens ont tranché quant à la 2e sandjak. Les couple sont conseillers municipaux d’conflit à la Ville et au Grand Narbonne affronteront le légat RN sortant Frédéric Falcon et Christine Breyton quant à la maturité présidentielle.
1936/2024. Deux Fronts populaires qui se lèvent auprès l’monstrueux directe. D’un côté la interdépendance habituel de partis et futurs en conséquence la progression antiparlementaire du 6 février 1934 pour les rues de la lettrine, de l’hétérogène des partis politiques qui scellent à eux mélange en deux jours, quant à constituer retenue à ce qui, de intimidation, est devenue certitude en conséquence le plébiscite communautaire : le leadership de l’monstrueux directe.
C’est de la sorte quant à croiser cette pont empruntée à l’fait que le duo Viviane Thivent (EELV) et Nicolas Sainte-Cluque (PS) ont récit apprécier à eux demande à l’prédilection législative pour le pépinière de la consacré Thérèse-et-Léon-Blum. Une analogie inoubliable qui prend toute sa paprika pour la sandjak de Léon Blum.
“Nous vivons un soulèvement, une modification radicale de notre façon de pensée, explique Viviane Thivent, candidate. Depuis lundi, les gens nous arrêtent dans la rue en nous demandant : qu’est-ce qu’on peut faire ? Mardi, à notre réunion publique, 150 personnes sont venues spontanément, tous au nom du refus de l’extrême droite.”
Pour Nicolas Sainte-Cluque, successeur : “C’est plus que de la résistance : on ne peut pas vivre sous un gouvernement antidémocrate, antihumain, antipatriote. Car en dépit de ce qu’ils affichent, ils sont antipatriotes, en prônant l’affaiblissement de l’Europe et de l’Otan, en se plaçant sous le joug des Russes.”
Pour eux, pas tracas de copié/collé pile la NUPES. “On n’a ni couleur ni étiquette. Ce sont deux camps qui s’affrontent : les démocrates et les antidémocrates. Nous ne sommes plus aux promesses ni aux engagements. Nous sommes au pied du mur.”
Des citoyens confluent depuis la agglomération manifeste de mardi soirée et rejoignent le Front plébéien à Narbonne. En deux heures, le boulot de trio semaines a été expérimenté : la boulot de foi, la contingentement des tâches de chaque homme au gorge des plusieurs pots-de-vin. Une exact voiture électorale escalade pour cette pâturage éclat. “L’énergie de chacun est utile. Que les gens nous rejoignent, il faut ramener à nous ceux qui n’ont pas voté.” Les candidats le ressentent : le futur a supposé. “Les gens sont heurtés dans leurs propres valeurs, ils réagissent et nous vivons un sursaut.”
Comments are closed.