PORTRAIT. “Défendre les autres, c’est en nous”, Stéphane Bonnafous, débours rédacteur départemental Force Ouvrière du Lot-et-Garonne

l’caractéristique
Vendredi 31 mai, Stéphane Bonnafous est devenu le débours rédacteur départemental de Force Ouvrière en Lot-et-Garonne. Il succède à Christophe Attias dans un mission de quatre ans.

C’est toléré. Stéphane Bonnafous succède à Christophe Attias au courrier de rédacteur départemental dans Force Ouvrière (FO). Après double blancs-seings et huit ans à la visage de l’constitution, Christophe Attias attache sa affecté.

“Nous ne sommes ni à la solde des patrons ni du côté des va t’en guerre”

“Je me suis découvert moi-même”, admet le débours rédacteur qui apprend croisée ultérieurement croisée son débours redevoir. Lui qui se prédestinait à bouillir là-dedans l’restauration ultérieurement un bac pro à Nérac. C’est dans Lactalys, à Montayral que Stéphane Bonnafous va dénuder la sens syndicale.

“C’est en nous cette volonté de défendre les autres et se confronter à la direction”, marcotte le syndicaliste. Embauché en 1998, d’apparence comment batelier de voiture, le jubilé fera une flux en encellulé dans se préciser.

“La grève, c’est le dernier recours”

Son neuf courrier sera celui-ci de hôtesse du lait, tâche importante là-dedans le fréquenté de la gourmette. Rarement triade ans ultérieurement son combat, il est élu négociant du spécifique et en 2009 il reprend la barcasse du CSE. “C’est à ce moment que je crée le syndicat en m’affiliant à FO. Avec les années, je suis devenu délégué national et référent handicap”, souligne Stéphane Bonnafous.

“FO me convient. Il y a un côté indépendant, on ne doit pas suivre une ligne de conduite nationale. On est libre localement.” Lui qui se définit comment un révisionniste et plénipotentiaire, il sait comme diriger au procès. “La grève, c’est le dernier recours.”

Depuis son privilège, Stéphane Bonnafous continue de batifoler un redevoir là-dedans l’industrie qui l’a embauché, il y a 26 ans. “J’y suis une fois par semaine pour maintenir les relations sociales et le temps de former la relève”, ballonnée l’marchand.

Un redevoir de coordonnateur

Personne rédacteur départemental incombe de nombreuses principes. Stéphane Bonnafous déroule : “On a un rôle de coordinateur et de facilitateur entre les syndicats et les entreprises. Mon objectif est de développer la formation syndicale et dans un deuxième temps ouvrir des sections dans les entreprises. Nous sommes présents dans le public, je veux aussi que l’on se développe dans le privé.”

Aujourd’hui, Force Ouvrière récapitulation 1 500 adhérents. Parmi eux, certains sont ceux-ci qui travaillent dans UPSA ou à la Candélie. “Nous ne sommes ni à la solde des patrons ni du côté des va t’en guerre”, assure-t-il. Stéphane Bonnafous est élu dans les quatre prochaines années. Pour l’durée, il découvre son débours redevoir simplement interminablement comme en masse de ennui et de minutie.

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